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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 23:52

[Mise à jour 22h50 : comme chaque année s'est tenue une émouvante cérémonie sur la tombe du lieutenant Roger Degueldre, à l’initiative du CNC, avec Roger Holeindre. Présence de militants du Renouveau français et de son directeur]delta1

 

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Ci-dessous un texte de José Castano à ce sujet :

 

«  Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM – R.D –

C’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 qui, rappelons-le, fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, que dg prit sa décision de faire fusiller le lieutenant Roger DEGUELDRE qui, fidèle à son engagement « La mort plutôt que le déshonneur! », avait justifié son action dans l’OAS par ces mots : « Mon serment, je l’ai fait sur le cercueil du Colonel Jeanpierre.
Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure !
»

Le lendemain, 6 juillet 1962, à l’aube, au fort d’Ivry, Degueldre se présenta devant le peloton d’exécution en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il avait tout sacrifié et qu’il avait choisi comme linceul.
Autour de son cou, il avait noué un foulard de la légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y avait la photo d’un bébé, son fils qu’il n’avait jamais vu. Il avait conçu cet enfant dans la clandestinité. Le bébé était venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort.
« Dites que je suis mort pour la France ! » s’écria-t-il à l’adresse de son défenseur.
 Puis il refusa qu’on lui bande les yeux et, au poteau cria : « Messieurs, Vive la France ! » avant d’entonner la Marseillaise.
Les soldats qui devaient l’exécuter, émus par son courage, hésitèrent à tirer. La première salve le blessa seulement : Une seule balle l’atteignit sur les douze qui furent tirées : au ventre dirent certains… au bras affirmèrent d’autres.
Quoiqu’il en soit, le fait certain c’est que Degueldre ne fut pas atteint de manière décisive.

 

La suite sur http://www.contre-info.com/cetait-un-6-juillet-lassassinat-sordide-de-roger-degueldre

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10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 04:17
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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 15:42
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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 15:39

La grandeur a un nom. Elle s’appelle Dominique Venner.

Par sa vie et par sa mort, cet homme exceptionnel nous laisse un message qui sonne en nos âmes comme un tocsin. Il nous appelle à nous tenir debout, quoi qu’il arrive. A regarder le destin en face, comme ces héros homériques qui étaient pour lui une source d’inspiration permanente.

Homme d’une grande pudeur, comme le sont les âmes fortes, il était habité par un puissant idéal qu’il fallait savoir décrypter derrière ses textes inspirés, ses paroles toujours mesurées au plus juste, voire ses silences. Mais le mince sourire qui éclairait parfois son visage était, pour les initiés, le signe d’une intense jubilation.

Le chemin sans lui, pourrait paraître bien terne car il était porteur d’une flamme qui irradiait. Mais la meilleure façon de lui être fidèle est de continuer le chemin qu’il a, inlassablement, tracé, lui qui  avait fait de la fidélité sa règle de vie. Essayons d’être dignes de lui.

 

Pierre VIAL,

Président de Terre et Peuple

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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 09:33


Communiqué d’Aymeric Chauprade – Mardi 21 mai 2013

 

Cher Dominique,

Je viens d’apprendre, à sept mille kilomètres de la terre de mes ancêtres et des miens, que tu as achevé ta vie en fidélité à ce que tu as été et ce que tu as défendu depuis la première heure.

Tel Montherlant ou Drieu la Rochelle, tu as choisi la mort volontaire, celle des Romains, ou des Germains, celle de la vieille religion des Européens.

Ce mardi 21 mai, à 16h, tu t’es tiré une balle dans la bouche devant l’autel de la cathédrale Notre-Dame de Paris.

Au risque de ne pas être compris, tu dis ainsi aux catholiques, réveillez-vous, ne baissez pas l’échine devant l’ignominie qui avance partout ! Tu dis aux Français et aux Européens qu’ils ont encore le choix de ne pas pourrir et de ne pas se laisser envahir.

Je t’admire Dominique, pour toute ta vie de combats, d’écrits, d’engagement, de droiture, et je suis fier d’avoir travaillé à tes côtés.

Puisse notre jeunesse française et européenne voir d’abord dans ton geste prométhéen, sacrilège, l’immense appel à la révolte radicale qu’il porte.

Pour mettre fin au grand remplacement, à la dormition européenne, à l’écrasement des valeurs familiales et des fondements de notre civilisation, le temps du grand soulèvement est venu.

J’ai entendu ton appel Dominique, et je ferai moi-même bientôt des choix forts.

Aymeric


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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 09:29

ripvenner.jpgQuel geste ! Quelle grandeur ! Faisant suite à la stupéfaction et à une grande tristesse, c’est immédiatement ce à quoi nous avons pensé lorsque nous avons appris, en ce 21 mai 2013, l’annonce du suicide de Dominique Venner.

Le geste en lui-même est très parlant et répond à une certaine logique pour qui connait un minimum les écrits de celui qui était véritablement, pour nous au Cercle Non Conforme, un de nos maîtres à penser. Dominique Venner s’est donné la mort dans un lieu hautement symbolique de l’histoire de France et du génie européen : la cathédrale gothique de Notre-Dame de Paris. Grand connaisseur des armes à feu, c’est avec l’une d’entre elles qu’il s’est tiré une balle dans la bouche…

Dominique Venner a suivi en cela ses idées. Il était un grand Européen, conscient et affecté de la décadence actuelle de son continent. Pour lui, ce terrible déclin n’était pas inéluctable, l’Europe étant « en dormition »… Cette « dormition » se révélant au fil du temps peut être plus profonde qu’on ne le pensait, l’ « historien contemplatif » qu’il était s’est certainement résolu à passer à l’acte. Pourquoi ? Car ce suicide n’est pas l’œuvre d’un "dérangé" ou d'un "désespéré" comme le pensent certains, il est un acte de protestation héroïque contre le monde moderne, contre cette Europe actuelle dégénérée et coupée de ses racines, négation totale de ce qu’elle est réellement. C’est un acte, pour nous Français, que nous devons considérer de la même manière que les Japonais considèrent le suicide de Mishima. C’est une mort digne, désintéressée, grandiose quelque part, romaine en un mot. Dominique Venner rejoint ici Lucrèce, Caton le Jeune et Publius Spendius mais aussi tant d’autres grands personnages de notre histoire dont le suicide fut une protestation contre le délitement de leur époque : pensons en premier lieu à Drieu la Rochelle.

Il l’écrivait lui-même dans sa dernière lettre : « Je me sens le devoir d’agir tant que j’en ai encore la force. Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable. Je choisis un lieu hautement symbolique, que je respecte et j’admire. Mon geste incarne une éthique de la volonté. Je me donne la mort pour réveiller les consciences assoupies. Alors que je défends l’identité de tous les peuples chez eux, je m’insurge contre le crime visant au remplacement de nos populations. »

Nous l’avons dit, Dominique Venner était (et restera) pour nous une source d’inspiration infinie, tant de par ses réflexions historico-culturelles que par sa vision du militantisme politique. Lui qui avait abandonné celui-ci pour voguer vers d’autres cieux depuis des décennies, il a mis fin à sa vie par l’acte militant par excellence : le sacrifice. Le côté tragique de son choix ne fait qu’en renforcer la portée et la fierté qui brûle en nous d’avoir comme guide un tel homme.

Le Cercle Non Conforme


Note du C.N.C.: Toute reproduction éventuelle de ce contenu doit mentionner la source.

http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2013/05/21/la-mort-d-un-samourai-d-occident.html

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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 09:28

Nous avons appris la mort tragique de Dominique Venner aujourd'hui à 16 heures, en la cathédrale Notre-Dame de Paris.

L'annonce de cette mort, c'est d'abord une peine profonde, la conscience d'une perte effroyable. Puis vient la colère, la grande colère contre ce monde creux dont le vide se nourrit des derniers hommes. Enfin apparait le message, puissant, immense et lumineux.

Car la mort volontaire de Dominique Venner est un message de sang et d'esprit dont les mots plongent au coeur des hommes libres. L'adresse de celui qui vient de sacrifier l'ultime bien est un appel à l'éthique et à la volonté. Il demande courage, détermination et dépassement de soi. Il exige le réveil de tous ceux que l'honneur éperonne, ceux dont la mémoire n'est pas assoupie, ceux dont l'âme vibre à la beauté de notre France, de notre Europe.

Ce message, cet ordre impérieux, nous l'avons entendu. Le coeur empli de fierté, l'âme décapée par cette protestation héroïque, nous servirons l'idéal du Sang et de l'Esprit. Nul doute que ce geste noble aux répercussions infinies raisonnera dans l'éternité.

Le Mouvement d'Action Sociale présente ses plus sincères condoléances à sa famille.

Dominique Venner présent !

 

Le directoire du M.A.S

 

http://www.fairemas.org/archive/2013/05/21/derniere-lettre-de-dominique-vennerdeclaration-de-dominique.html

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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 09:22

Je suis sain de corps et d’esprit, et suis comblé d’amour par ma femme et mes enfants. J’aime la vie et n’attend rien au-delà, sinon la perpétuation de ma race et de mon esprit. Pourtant, au soir de cette vie, devant des périls immenses pour ma patrie française et européenne, je me sens le devoir d’agir tant que j’en ai encore la force. Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable. J’offre ce qui me reste de vie dans une intention de protestation et de fondation. Je choisis un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre-Dame de Paris que je respecte et admire, elle qui fut édifiée par le génie de mes aïeux sur des lieux de cultes plus anciens, rappelant nos origines immémoriales.

Alors que tant d’hommes se font les esclaves de leur vie, mon geste incarne une éthique de la volonté. Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies. Je m’insurge contre la fatalité. Je m’insurge contre les poisons de l’âme et contre les désirs individuels envahissants qui détruisent nos ancrages identitaires et notamment la famille, socle intime de notre civilisation multimillénaire. Alors que je défends l’identité de tous les peuples chez eux, je m’insurge aussi contre le crime visant au remplacement de nos populations.

Le discours dominant ne pouvant sortir de ses ambiguïtés toxiques, il appartient aux Européens d’en tirer les conséquences. À défaut de posséder une religion identitaire à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une mémoire propre, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance en rupture avec la métaphysique de l’illimité, source néfaste de toutes les dérives modernes.

Je demande pardon par avance à tous ceux que ma mort fera souffrir, et d’abord à ma femme, à mes enfants et petits-enfants, ainsi qu’à mes amis et fidèles. Mais, une fois estompé le choc de la douleur, je ne doute pas que les uns et les autres comprendront le sens de mon geste et transcenderont leur peine en fierté. Je souhaite que ceux-là se concertent pour durer. Ils trouveront dans mes écrits récents la préfiguration et l’explication de mon geste.

 

Dominique Venner

16 avril 1935 - 21 mai 2013

 

Repose en paix camarade. Tu as rejoins les oies sauvages et tu veilleras sur nous de là-haut ! Nous continuerons le combat plus que jamais ! Que ton geste d'honneur nous serve d'exemple, toi, l'Européen, qui a vécu toute ta vie en accord avec tes convictions. Jusqu'au bout, jusqu'au sacrifice ultime. Merci pour tout camarade !
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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 09:18
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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 12:53

C’est avec beaucoup de tristesse que nous vous annonçons le décès, survenu le 24 janvier de notre camarade Jean Castrillo.

            Hospitalisé depuis le mois d’août, après plusieurs opérations, Jean a finalement succombé alors qu’il se trouvait dans une maison de convalescence, un mois après son 89e anniversaire.
            Nous perdons plus qu’un camarade : un frère d’armes.
            Pour ceux d’entre vous qui ne l’ont pas connu personnellement, nous rappellerons quelques détails de sa vie exemplaire.

 

http://img810.imageshack.us/img810/2568/jeancastrillo2.jpg

 

La suite sur http://club-acacia.over-blog.com/article-jean-castrillo-son-honneur-s-appelait-fidelite-98243374.html

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