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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 02:48
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27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 23:32

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 01:12

(Los Angeles) Une école secondaire du Texas oblige ses 4200 élèves à porter une puce électronique qui permet de déterminer leur position, une nouvelle politique qui soulève les critiques des groupes de défense des libertés individuelles, rapporte notre correspondant.

La puce est minuscule, plus petite que l'ongle de l'auriculaire. Insérée dans une épinglette, elle émet un signal qui permet à la direction de l'école secondaire John Jay High, à San Antonio, au Texas, de savoir où chacun de ses 4200 élèves se trouve dans le campus.

Implanté cet automne, le système est obligatoire. Plus tôt ce mois-ci, Andrea Hernandez, une élève de l'école, a été expulsée après avoir refusé de porter la puce sur elle pour des motifs religieux.

Selon John W. Whitehead, avocat et président-fondateur de l'Institut Rutherford, qui défend les libertés civiles et religieuses, le système baptisé Student Locator Project viole le droit à la vie privée des élèves.

 

«Obliger les élèves à porter une puce sur eux est un concept orwellien, a-t-il dit à La Presse. Et le refus de porter la puce est puni par l'expulsion. C'est incroyable. C'est comme si on venait d'entrer dans un univers parallèle.»

 

La suite sur http://www.lapresse.ca/international/etats-unis/201211/28/01-4598433-dans-une-ecole-texane-cest-la-puce-ou-la-porte.php

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 07:13

Deux chercheurs de l'université de Harvard sont parvenus à stocker 700 To de données informatiques dans un gramme de matière. Pour cela, ils ont directement utilisé de l'ADN.

 

L'idée de stocker des données informatiques dans de l'ADN n'est pas nouvelle. Pourtant, cette fois, les choses s'accélèrent avec la parution, dans la revue Science, des travaux de deux chercheurs de l'université de Harvard. Ceux-ci ont réussi à stocker la copie numérique de l'ouvrage que publiera bientôt l'un d'entre eux dans quelques microgrammes de matière faite de molécules d'ADN synthétisées, rapporte clubic.com.

Selon ces scientifiques, la densité de stockage atteinte est telle que l'on pourrait stocker dans environ 4 grammes d'ADN l'ensemble des informations produites dans le monde en 2011, ce qui correspond à 1,8 zettaoctet (soit 1,8 x 1021 octets) !

 

La suite sur http://www.maxisciences.com/adn/adn-le-disque-dur-de-demain_art26235.html

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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 06:54

BRUXELLES Les services de renseignements belges ont reçu l'an dernier 831 autorisations de recourir à des méthodes particulières de recherches telles que les écoutes téléphoniques, l'inspection de données bancaires, le traçage de numéros de téléphone, etc, selon le rapport annuel du Comité R que De Tijd s'est fourni. 

La Sûreté de l'État a davantage recours à ces techniques que les services de renseignements de l'armée. Ces méthodes peuvent en outre être appliquée sur de longues périodes, comme cette autorisation d'examiner les données bancaires d'un particulier durant 20 à 60 mois.

Le Comité permanent de contrôle des services de renseignement et de sécurité (Comité R) reconnaît qu'il s'agit de longues périodes, mais juge la mesure nécessaire et estime que la Sûreté de l'État emploie ces méthodes de manière équilibrée.

Les 355 autorisations obtenues par la Sûreté pour tracer des numéros de téléphone en 2011 concernaient 1.892 numéros, voire davantage encore puisque sont aussi concernés les numéros entrant en contact avec ces derniers.

Le Comité R relève certains cas d'abus, comme lorsqu'un parlementaire belge a eu recours aux services secrets pour localiser son GSM qu'il avait perdu à l'étranger. Ce travail aurait très bien pu être réalisé par un opérateur téléphonique quelconque, selon le Comité R.

© La Dernière Heure 2012

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 10:03

LOI - De nombreux parlementaires, en particulier au Sénat, s'opposent à un texte permettant la création d'un «fichier des gens honnêtes»...

Les députés ont adopté mercredi soir en petit comité un texte prévoyant la création d’un fichier répertoriant les empreintes digitales de 45 à 50 millions de Français -voire, à terme, de la quasi-totalité de la population. L’objectif: lutter contre l’usurpation d’identité, «un véritable fléau» selon le ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, présent au moment du vote. Ce grand fichier d’empreintes digitales ne sera d’ailleurs consultable que dans le but de retrouver une personne suspectée d’usurpation d’identité.

Mettre un nom sur une empreinte, quel qu’en soit le propriétaire

Mais le texte fait grincer beaucoup de dents, certains parlementaires se demandant pour quels autres usages le fichier finira par être exploité. Pour de nombreux élus, la création d’un tel fichier représente un premier pas vers un fichage général de la population et une consultation de plus en plus systématique d’une base de données permettant d’identifier n’importe quel citoyen à partir de ses empreintes digitales. Le texte a d’ailleurs provoqué de nombreux débats parlementaires: mercredi soir, il passait pour la troisième fois devant les députés.

Un concept en particulier a cristallisé les désaccords: le «lien fort», qui permet de comparer les données biométriques d’une personne avec l’ensemble des données contenues dans le fichier, et donc de mettre un nom sur une empreinte, quel qu’en soit le propriétaire. Au Sénat, c’est l’idée d’un «lien faible» qui est défendue, par des élus de gauche comme de droite: celui-ci ne permettrait de constater qu’une usurpation d’identité, sans pouvoir remonter jusqu'à son auteur.

Le rapporteur de la loi et sénateur UMP François Pillet, favorable au «lien faible», avait notamment parlé de «bombe à retardement pour les libertés publiques» et de la création d’un «fichier des gens honnêtes». Mais que craignent, concrètement, les détracteurs du texte en général et du «lien fort» -adopté mercredi par l’Assemblée- en particulier?

Plusieurs dérives redoutées

20 Minutes a posé la question au député socialiste Serge Blisko, qui s’était notamment fait remarquer en rappelant que la dernière fois qu’un fichage général de la population avait été effectué en France, c’était en 1940, et qu’«il fut d’ailleurs détruit à la Libération». «Ce que je voulais dire, c’est que dans ce pays, on s’interdit de ficher toute la population», expliquait jeudi le député. «Aucun fichier n’est à l’abri, surtout en matière d’informatique, et surtout quand on parle de fichiers très lourds et donc très fragiles comme celui-ci.» Il craint deux choses: que des «personnes mal intentionnées» pénètrent dans le fichier, et qu’au fil du temps, avec l’enrichissement des données, on obtienne «un fichage généralisé de la population.»

Car les restrictions d’aujourd’hui sur l’utilisation de ces données ne seront pas forcément celles de demain. Un exemple a été cité lors des débats: le fichier des empreintes génétiques (FNAEG), conçu à la base pour ficher uniquement les criminels sexuels, a été élargi au fil du temps aux suspects de la majorité des crimes et délits. Autre dérive possible, mentionnée par François Pillet: que le «lien fort» permette «aux services en charge de la lutte contre le terrorisme d'utiliser, pour leurs missions, le fichier central biométrique à des fins d'identification d'une personne par ses empreintes digitales hors de toute réquisition judiciaire, ce qui est contraire au droit en vigueur.»

Mercredi soir, Claude Guéant a ignoré ces craintes, préférant l’efficacité à la prudence: «Puisque nous avons les moyens techniques pour identifier l’usurpateur, utilisons-les». Au final, le débat ne sera pas tranché au Parlement: après un dernier passage devant le Sénat courant février, l’Assemblée nationale adoptera le texte en quatrième lecture et le rendra applicable. «Sauf s’il y a censure du Conseil constitutionnel», rappelle Serge Blisko, qui espère bien que les Sages seront saisis.

 

http://www.20minutes.fr/politique/872368-biometrie-deputes-ouvrent-voie-un-fichage-general-population

 

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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 07:54

Apple a repris en France la commercialisation de l'application controversée «Juif ou pas juif ?», a dénoncé mardi soir la Licra dans un communiqué. «Un mois après que sa vente ait été supprimée, l’application «Juif ou pas Juif» est de nouveau disponible sur l’AppStore depuis la France», affirme la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra).

 

Le 14 septembre, Apple avait annoncé le retrait de la vente en France de cette application. Constatant que l'application demeurait accessible pour les utilisateurs qui l'avaient déjà téléchargée, la Licra a assigné Apple en référé, ainsi que sa filiale Itunes. «Apple persévère donc à violer une loi qu’elle ne peut plus feindre d’ignorer», dénonce la Licra

La Licra veut mettre en demeure la multinationale

«Apple aura à répondre devant la justice de son obstination à commercialiser une application interdite par la législation française», ajoute la Licra. L'organisation a annoncée qu'elle allait «de nouveau mettre en demeure la multinationale de supprimer ce fichier aux relents nauséabonds».


Cette application du téléphone d'Apple iPhone, vendue 0,79 euros il y a encore un mois, permet d'avoir accès à une liste de 3 500 personnalités d'origine ou de religion juive. Si son ingénieur, Johann Lévy, a toujours contesté l'idée de fichage, la mise en vente de son application avait déjà provoqué la colère d'associations antiracistes.

LeParisien.fr 18.10.2011

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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 20:50

Deux ressortissants chinois effectuant un stage dans une entreprise de haute technologie en Lorraine ont été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire pour espionnage industriel.

«Une opération d'espionnage délibérée». Pour les enquêteurs de la direction centrale du renseignemenrt intérieur (DCRI), les deux stagiaires chinois surpris le mois dernier en Lorraine en train de photographier un prototype de moteur dans la société française Converteam n'ont pas seulement commis une bévue ou un simple dérapage. Révélée par l'Est Républicain, cette affaire, qui intervient après l'attaque informatique, peut-être venue de Chine, contre la société Safran, pose de nouveau le problème de l'espionnage industriel chinois en France et celui de la difficulté pour les entreprises de lutter contre ce phénomène, sans nuire à leurs intérêts commerciaux.

Installée à Champigneulles, à côté de Nancy, Converteam, spécialisée dans la construction de moteurs et récemment rachetée par General Electric, est d'ailleurs très discrète sur ce dossier dérangeant. Sa direction se refuse à tout commentaire. Une discrétion qui ne fait pas oublier le sérieux de l'affaire puisque, après une plainte de l'entreprise, elle a donné lieu à l'ouverture d'une information judiciaire et à la mise en examen, le 28 septembre dernier, des deux ressortissants chinois. Ils ont été placés sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter le territoire français.

 

La suite sur http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/10/12/01016-20111012ARTFIG00436-nouvelle-affaire-d-espionnage-chinois-en-france.php

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16 juillet 2011 6 16 /07 /juillet /2011 07:01

 

L’intrusion de l’eau dans certains bâtiments de la centrale de Fort Calhoun a obligé la centrale à basculer brièvement sur l’alimentation électrique de secours dans la journée de dimanche selon l’Homaha World Herald.

http://www.omaha.com/article/20110627/NEWS01/706279901/-1#flood-test-not-over-for-nuke-plant

 

Les générateurs diesel ont été mis en marche avec succès pour pallier à des difficultés d’alimentation de la centrale en électricité par le réseau électrique.

Comme à Fukushima, le système de refroidissement de la centrale dépend de la fourniture constante en électricité.

Par ailleurs, plusieurs explosions ont créé des brèches sur des digues en amont de la centrale Nucléaire inondée de Fort Calhoun aux USA.

La rupture de ces digues a provoqué l’inondation des champs de maïs jusque-là protégés.

Les autorités gouvernementales ont d’abord démenti être à l’origine de ces explosions, et laissent entendre que des fermiers en colère seraient suspects, mais vendredi, Jeff Theulen, le coordinateur des opération d’urgence, a déclaré que les digues ont peut-être été rompues intentionnellement.

En effet, un corps d’ingénieurs de l’US army travaillait à niveler ces digues depuis une semaine. Ces travaux ont d’ailleurs entrainé la mort d’un conducteur dont le camion est tombé de la digue.

Ainsi la digue privée de Vanmann n°30 située au nord de la réserve naturelle de Boyer Chute a d’abord été excavée par l’armée avant qu’une brèche ne soit ouverte par explosifs.

Deux autres brèches ont également provoqué l’inondation de zones de cultures sur cette portion du fleuve.

 

La suite sur http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/fort-calhoun-le-reacteur-sur-97038

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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 21:08

Le sénat veut combattre le vol d'identité en intégrant des puces sur la carte d'identité française.

En effet, mercredi, les membres du sénat ont voté à l'unanimité une loi visant à protéger les citoyens français en incorporant progressivement des puces à leur carte d'identité. La nouvelle carte biométrique disposera donc de deux puces, la première contiendra les informations de base comme le nom, la photo, taille, couleur des yeux, empreintes digitales et la deuxième incorporera une signature électronique.

Il reste à voir si cette nouvelle version de la carte d'identité permettra de réduire le nombre de fraudes. Affaire à suivre.

 

 

http://www.logiciel.net

 

17 avril 2011

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