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16 janvier 2008 3 16 /01 /janvier /2008 10:16

Dhorasoo s'engage pour Delanoë et "réfléchit" à adhérer au PS

Le joueur Vikash Dhorasoo lors d'une conférence de presse, le 9 juin 2006 à Hamlen en Allemagne
Pascal Pavani AFP/archives ¦ Le joueur Vikash Dhorasoo lors d'une conférence de presse, le 9 juin 2006 à Hamlen en Allemagne

Le footballeur Vikash Dhorasoo, 34 ans, qui a mis samedi un terme à sa carrière, annonce qu'il va "s'engager" dans la campagne municipale de Bertrand Delanoë (PS) à Paris et qu'il "réfléchit" à adhérer au PS, dans un entretien à paraître dans le Journal du dimanche.

"J'ai toujours été un homme de gauche, ce qui est plutôt rare dans le foot! Je vais rencontrer Bertrand Delanoë mi-février. Je vais m'engager dans sa campagne municipale. C'est quelqu'un que j'apprécie vraiment. Pour son action à Paris et pour son attitude", déclare celui qui avait déjà soutenu Ségolène Royal pendant la présidentielle.

Interrogé sur le fait de savoir s'il figurera sur les listes Delanoë, M. Dhorasoo répond: "On ne me l'a pas proposé. Pourquoi pas ? Ceci dit, ça ne servirait pas à grand-chose vu que je vote dans le XVIème, un arrondissement très largement UMP !"

"De toute façon, je n'ai aucune ambition politique personnelle, le pouvoir ne m'intéresse pas. Je veux simplement être utile. Si Delanoë est réélu, je travaillerai pour la mairie, dans le sport. Mener des actions de sensibilisation dans les écoles ou les clubs, ça m'intéresse", ajoute-t-il.

A la question "allez-vous adhérer au PS ?", il indique qu'il "y réfléchit" et que "ce serait cohérent avec (son) engagement".


© 2008 AFP


«Seule une réelle fidélisation permettra aux policiers de connaître le terrain»

Des policiers en colère, le 13 novembre 2006 à Bobigny
Franck Fife AFP ¦ Des policiers en colère, le 13 novembre 2006 à Bobigny


A l’instar des élus de la Seine-Saint-Denis, les syndicats de policiers accueillent avec une satisfaction mêlée d’incertitude l’expérience pilote menée par le ministère de l’Intérieur dans trois zones sensibles de ce département. Michèle Alliot-Marie a notamment annoncé ce lundi le retour sur le terrain de 100 postes administratifs d’ici deux ans, en vue de créer des «unités territoriales de quartier» mais aussi des patrouilles équestres et une compagnie de sécurisation, sorte de CRS aguerris aux violences urbaines.


Problème des crèches

En échange, le ministre a promis des «promotions plus rapides» ou encore des mesures pour «faciliter la vie quotidienne (logement, garde d'enfants, emploi pour le conjoint...)». Le Syndicat national des officiers de police (Snop, majoritaire) s'est félicité de cette «volonté affichée de tendre à fidéliser, mieux encadrer et mieux former les fonctionnaires de police affectés en zones difficiles».

Le syndicat «s’interroge» toutefois «sur la mise en place d'“unités territoriales de quartier” censées renouer la proximité avec la population et notamment en termes d’effectifs». «Seule une réelle fidélisation (primes attractives, logements décents, loisirs) permettra aux effectifs engagés de connaître le terrain et de se rapprocher de cette population», estime-t-il.

L’Unsa 93 a pour sa part souligné à «20 Minutes» le problème des crèches. «C’est bien beau de remettre des fonctionnaires sur le terrain mais dans le département, une seule crèche, près de l’aéroport, propose des horaires adaptés», note le syndicat. Au niveau national, l'Unsa Police s'inquiète de «la légèreté du dispositif» (30 policiers par unités). Tout en se félicitant de la «détermination» affichée par la ministre de l'Intérieur, «pour régler les problèmes des policiers sur le terrain», le premier syndicat des gardiens de la paix se demande si le ministère aura «les moyens de ses ambitions». Il préconise en outre «la mise en place de ce dispositif sur l'ensemble des sites répertoriés comme étant sensibles».

Eradiquer les «noyaux durs de délinquants»

Alliance prend également «acte» de l'annonce de la création de cette police pilote, mais «elle ne pourra être instaurée que si les noyaux durs de délinquants auront été préalablement éradiqués», déclare-t-il.

«Cette police ne doit pas être la police de proximité qui a été un échec faute de moyens et d'effectifs», insiste le syndicat en souhaitant la prise en compte de «l'investigation» et du «renseignement».


C. F. avec agence



Pèlerinage à La Mecque

Vous trouverez sur le site
de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes les brochures (en français et en arabe svp) pour effectuer son Pèlerinage à La Mecque sans problème ! Réalisées avec notre pognon évidemment...

Brochure en français

Brochure en arabe



Les assassins des touristes n’ont «aucun remord» d’avoir tué des «infidèles»


DGSE L’arrestation des deux hommes est «le résultat d'une vaste opération menée par des équipes de la Direction générale de la sécurité extérieureselon une source proche des services de renseignements français.
En ce moment à la une
Un homme marche dans le désert dans la région de Kiffa en Mauritanie
Georges Gobet AFP/Archives ¦ Un homme marche dans le désert dans la région de Kiffa en Mauritanie

Ils n’ont «aucun remord». Deux suspects arrêtés vendredi en Guinée-Bissau ont avoué avoir tiré sur des touristes français le 24 décembre en Mauritanie, entrainant la mort de quatre d'entre eux.

«Je suis surpris par la détermination des deux suspects qui, malgré leur détention, continuent à marteler n'avoir aucun remord d'avoir tué des infidèles et alliés des Américains», a déclaré à l'AFP le chef des opérations ayant conduit à leur arrestation, Orlando Da Silva. «Ils disent qu'ils sont prêts à répéter le geste s'ils en ont encore l'occasion», a-t-il .

Une source auprès du parquet a confirmé la nature des aveux.

Moyens financiers «conséquents»

Les interrogatoires des deux Mauritaniens, considérés comme proches d'Al-Qaïda, ont été bouclés vendredi soir. Ils pourraient être extradés dès samedi vers la Mauritanie. Selon Orlando Da Silva, les deux assassins présumés disposent de moyens financiers «conséquents». Ils ont déclaré qu'ils étaient en route pour Conakry (Guinée) d'où ils comptaient prendre l'avion pour l'Algérie.

Les mesures de sécurités ont été renforcées autour des locaux de la police judiciaire, où sont détenus les deux suspects. Un détachement de l'armée est venu en renfort aux forces de police d'intervention rapide, selon plusieurs témoins.

Trois autres Mauritaniens ont par ailleurs été interpellés vendredi soir dans le cadre de l'enquête. La police leur reproche d'avoir porté assistance aux fugitifs.

«Nous sommes à la recherche du troisième suspect», a indiqué Orlando Da Silva.


avec agence


 

Cette filière tchétchène qui prend Roissy d'assaut

Quelques 1.600 m² ont été réquisitionnés ces derniers jours à Roissy pour héberger les derniers arivants. (Bouchon/Le Figaro).
Quelques 1.600 m² ont été réquisitionnés ces derniers jours à Roissy pour héberger les derniers arivants. (Bouchon/Le Figaro).

En trois mois, plus d'un millier de citoyens russes ont débarqué en France pour demander l'asile. Les autorités sont prises de court.

Roissy, 15 h 10. Le vol quotidien d'Air France AF 2623 arrive de Kiev en Ukraine. À son bord, plusieurs dizaines de passagers russes doivent faire escale quelques heures en France, puis décoller pour Rabat. En théorie. Dès qu'ils posent le pied sur le sol français, ils déclarent vouloir demander l'asile politique en France et refusent de réembarquer en direction du Maroc.

Depuis le début septembre, le scénario est immuable. Chaque jour, entre 10 et 40 citoyens russes, en grande majorité tchétchènes, utilisent le même subterfuge pour entrer en France. Hier, ils étaient 28. Les statistiques de la police que Le Figaro s'est procurées sont édifiantes. Les services de l'asile (Ofpra) installés à Roissy enregistraient 25 demandes russes en septembre et près de 600 au cours du seul mois de décembre. En trois mois, ce sont près de 1 200 citoyens russes qui sont passés par la zone d'attente où sont placés les étrangers interpellés à la descente d'avion sans autorisation de pénétrer sur le sol français.

Les pouvoirs publics n'arrivent plus à faire face car les lits manquent pour accueillir tous les demandeurs. La «zone d'attent» dispose de 164 places. Or, ces derniers jours, il fallait héberger 267 personnes dont une centaine de Russes. «Nous assistons à une légère baisse depuis le début janvier, explique un fonctionnaire, mais il pourrait s'agir d'une accalmie liée aux fêtes orthodoxes, périodes peu propices aux déplacements.» Le sous-préfet de Roissy a dû réquisitionner 1 600 m² dans l'aéroport pour les héberger.

Visa de transit aéroportuaire

La situation est d'autant plus compliquée que la police aux frontières doit faire face au même moment à des arrivées importantes de Somaliens. Ces derniers utilisent un stratagème comparable à celui des Russes. Ils embarquent à Djibouti en direction de Cuba ou du Maroc avec une escale en France. Mais une fois à Paris, ils y restent.

Pour endiguer le phénomène, les autorités françaises envisagent d'imposer rapidement un visa de transit aéroportuaire (VTA) aux voyageurs en provenance de Djibouti. Le VTA permet de limiter et d'encadrer les déplacements des étrangers pendant le temps de l'escale.

La filière russe pose un problème diplomatique plus épineux aux autorités françaises. Il est inenvisageable d'imposer un VTA à tous les Russes qui posent un pied sur le sol français. Ces mesures sont considérées comme vexatoires pour les pays qui y sont soumis. Il semblerait qu'en Ukraine les candidats aux voyages bénéficient d'une solide organisation locale pour obtenir leurs documents de transports et leur voyage.

Des démarches ont été entreprises auprès de l'ambassade d'Ukraine à Paris pour éclaircir certaines zones d'ombre et obtenir des explications. Reste qu'à Roissy la situation devient explosive. «Au départ, il s'agissait de quelques familles tchétchènes isolées qui ont vocation à demander l'asile, raconte un fonctionnaire de l'Ofpra, aujourd'hui, nous voyons arriver à Roissy des Ingouches et des Caucasiens du Daguestan dont les motivations sont essentiellement économiques.»

D'autant que, dans les trois quarts des cas, le tribunal de Bobigny accepte les recours de ces étrangers (lire ci-dessous). Au bout d'un délai de vingt jours, l'administration n'a d'autre solution que de les laisser entrer en France. «Bloquer systématiquement les demandes d'asile n'est pas une solution, s'insurge Patrick Delouvain d'Amnesty international. Il faut pouvoir au moins instruire les dossiers.»

Au-delà de Roissy, les demandeurs d'asile russes, en hausse de 77 % depuis le mois d'août, af­fluent dans les préfectures. Ces candidats arrivent de Pologne, nouvelle frontière de l'espace Schengen, en bus.


Le Figaro



Arun Gandhi déplore le refus de tourner la page de l’Holocauste



Arun Gandhi, petit-fils du Mahatma et directeur du M.K. Gandhi Institute for Nonviolence à l’université de Rochester (New York), a présenté mercredi ses excuses aux lecteurs du Washington Post. En effet, un message qu’il avait mis en ligne le lundi sur le site internet du grand quotidien états-unien avait soulevé l’indignation des organisations sionistes. Tout en maintenant ses propos, M. Gandhi a regretté la forme de son message qui ouvrait semble-t-il la voie à de déplorables interprétations. Il a invité chacun à lire son message sans arrières-pensées.

Sous le titre « L’identité juive ne peut dépendre de la violence », Arun Gandhi écrivait : « L’identité juive s’est enfermée dans l’expérience de l’Holocauste (…) c’est un bon exemple de la manière dont une communauté peut surjouer une expérience historique au point de commencer à repousser ses amis (…) le monde est désolé pour cet épisode, mais quand une personne ou une nation refuse de pardonner et de continuer, le regret se transforme en colère ».

 

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commentaires

E
Le judaïsme c'est la haine rabbinique, alors ils trouveront toujours une excuse ou une raison.
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