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22 février 2014 6 22 /02 /février /2014 17:26

 

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5 juillet 2013 5 05 /07 /juillet /2013 03:17
Comment prendre les gens pour des cons : partout dans le monde il fait chaud (sic) sauf en France ! La chaleur s'est arrêtée à la frontière : climat en provenance de Tchernobyl ?
 
 
Laurent Cabrol, chef du service météo d’Europe 1, remet Jean Jouzel à sa place !
 
 
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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 01:59

La Commission européenne a confirmé vendredi l'interdiction sur deux ans de pesticides des laboratoires suisses Bayer et Syngenta suspectés d'accélérer la mort des abeilles.

 

La Commission européenne a confirmé vendredi sa décision de restreindre pendant deux ans à compter du 1er décembre l'utilisation de trois pesticides mortels pour les abeilles commercialisés par Bayer et Syngenta.

«Les restrictions entreront en vigueur le 1er décembre 2013 et seront réexaminées au plus tard dans un délai de deux ans. Elles visent des pesticides utilisés dans le traitement de végétaux, dont les céréales, attirant les abeilles et les pollinisateurs», a indiqué la Commission dans un communiqué.

Ces restrictions s'appliquent à l'utilisation de trois néonicotinoïdes (la clothianidine, l'imidaclopride et le thiaméthoxame) pour le traitement des semences, l'application au sol (en granulés) et le traitement foliaire des végétaux, y compris les céréales (à l'exception des céréales d'hiver), qui attirent les abeilles.

Les trois néonicotinoides incriminés sont présents dans des pesticides commercialisés par les groupes Bayer et Syngenta, qui ont exercé de fortes pressions pour éviter l'interdiction.

Les utilisations autorisées restantes seront réservées aux professionnels. Les exceptions seront limitées à la possibilité de traiter les cultures attrayantes pour les abeilles sous serre, ainsi que dans des champs en plein air après la floraison uniquement, a précisé la Commission.

Les pesticides ont été définis comme l'un des différents facteurs pouvant être responsables de la baisse du nombre d'abeilles.

Les États membres vont devoir retirer ou modifier les autorisations existantes pour se conformer aux restrictions de l'UE d'ici le 30 septembre 2013. Ils pourront autoriser l'utilisation des stocks existants jusqu'au 30 novembre au plus tard, a indiqué la Commission, qui précise que «les autorités nationales sont responsables du respect des restrictions».

 

La suite sur http://www.tdg.ch/savoirs/environnement/trois-pesticides-interdits-1er-decembre/story/27559926

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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 03:22
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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 03:19
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12 avril 2013 5 12 /04 /avril /2013 02:12

«Environ 40 % des rivières sont imbibées de pesticides, essentiellement des herbicides, dont on voit bien que leur durée de vie excède largement celle passée dans les champs», déclare Martin Guespereau, directeur général de l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse, lors de la présentation du rapport 2011. L’utilisation de pesticides aurait augmenté de 2,5 % sur l’année.

 

On trouve dans les cours d’eau de nombreuses traces de pesticides interdits, alors que 53 molécules jugées trop toxiques ou trop persistantes ont pourtant été éliminées de la liste des produits autorisés. Les pollutions industrielles, agricoles ou domestiques imposent un traitement lourd pour rendre l’eau potable. Le coût de ses traitements s’évalue entre 300 et 450 millions d’euros. En ajoutant le surcoût lié aux nitrates, l’addition pourrait grimper jusqu’à 700 millions d’euros.

Libération du 20 mars 2013

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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 16:55
Les bactéries dans l’eau

Comme je l'ai signalé dans le chapitre précédent, les considérations développées ci-dessous doivent être lues avec esprit critique. Elles ont pour but de susciter un débat scientifique et public sur le sujet.

Lorsque l’eau est distribuée par réseau, afin de garantir sa pureté microbienne, l’usage d’un désinfectant chimique comme le chlore semble être incontournable. Les bactéries et les autres micro-organismes se développent spontanément dans l’eau. Elles se fixent sur les parois des tuyaux et des réservoirs de stockage. L’écrasante majorité de ces bactéries sont inoffensives pour l’homme. Une petite partie appartient aux mêmes espèces que celles qui sont présentes en masse dans le corps des personnes atteintes de certaines maladies infectieuses. On fait donc rapidement la relation de cause à effet entre l’absorption d’une eau contenant ces bactéries réputées pathogènes et l’apparition de maladies infectieuses. Cette corrélation est loin d’être aussi simple.

De nombreuses observations prouvent que l’absorption, même en quantités considérables, de ces bactéries n’entraîne pas nécessairement la maladie, de même que la maladie peut apparaître sans être précédée de l’absorption d’une eau suspecte de contamination. L’apparition d’une maladie infectieuse est un phénomène qui est le résultat de la conjonction de plusieurs facteurs extérieurs et intérieurs à l’organisme. Nous pensons que contrairement aux idées reçues, le facteur prédominant n’est pas la qualité de l’eau consommée, mais l’état général du système immunitaire de l’individu.

Le principe de précaution nous dicterait cependant qu’il vaut mieux consommer une eau qui ne contient pas ces bactéries. C’est l’origine de la conception pasteurienne de l’hygiène qui postule que dès le moment où les bactéries ont été éliminées de l’eau – par désinfection chimique par exemple – tout va bien. En allant jusqu’au bout de cette idée, on s’efforcera de tuer, à l’aide de biocides (substances qui tuent la vie) tout ce qui vit dans l’eau. C’est la justification de l’usage du chlore, mais aussi celui des lampes UV. Suivant cette vision, le chlore est un produit d’hygiène. En réalité, le chlore est un biocide toxique avec de nombreux effets secondaires dont on ne parle presque jamais.

Bien que les spécialistes de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) en soient parfaitement conscients, les effets indésirables de la désinfection chimique de l’eau destinée à la consommation n’apparaissent que peu dans les publications sur le sujet. Pourtant les spécialistes savent très bien que la décision de désinfecter ou non l’eau est basée sur une balance des risques. La chloration élimine les risques immédiats liés à la présence des bactéries pathogènes, mais on sait bien que ce faisant, on expose à long terme le consommateur à d'autres types de problèmes de santé. Malheureusement, en raison de la lenteur de l’action négative des désinfectants chimiques, il est très difficile d’établir une relation de cause à effet entre certaines maladies virales et de dégénérescence et la consommation ou l’usage (même externe) prolongé de l’eau désinfectée au chlore.

On cite souvent les composés organo-chlorés toxiques formés suite à la chloration. L’effet toxique de ces substances n’est notable qu’au cas où l’eau désinfectée contenait au départ suffisamment d'impuretés de nature organique (bactéries, matières humiques). Quand l’eau de départ contient peu de ces substances, la formation des composés organo-chlorés devient négligeable et ne présente pas un risque pour la santé. Le véritable risque se trouve ailleurs: au niveau des propriétés électrochimiques de l’eau. 

 

La suite sur http://www.eautarcie.com/Eautarcie/3.Eau_de_pluie/D.Le_chlore_et_l%27eau.htm

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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 16:19

La Cour de Justice de l'Union Européenne désavoue
Kokopelli et son avocat général

La Cour de Justice, par sa décision rendue hier dans l'affaire Kokopelli c. Baumaux, vient de donner un satisfecit intégral à la législation européenne sur le commerce des semences.

Pourtant, le 19 janvier dernier, son Avocat Général nous donnait entièrement raison, en estimant que l'enregistrement obligatoire de toutes les semences au catalogue officiel était disproportionné et violait les principes de libre exercice de l'activité économique, de non-discrimination et de libre circulation des marchandises. (V. ses conclusions)

Ce changement de cap absolu ne manque pas de nous surprendre et de nous interroger.

La Cour, aux termes d'une analyse étonnement superficielle de l'affaire, et d'une décision qui ressemble plus à un communiqué de presse qu'à un jugement de droit, justifie l'interdiction du commerce des semences de variétés anciennes par l'objectif, jugé supérieur, d'une "productivité agricole accrue" !

L'expression, utilisée 15 fois dans la décision de la Cour, consacre la toute puissance du paradigme productiviste. Ce même paradigme, qui avait présidé à la rédaction de la législation dans les années soixante, a donc encore toute sa place en 2012. La biodiversité peut donc être valablement sacrifiée sur l'autel de la productivité.

Cela fait 50 ans que cela dure et le fait que ce raisonnement nous ait déjà amenés a perdre plus de 75% de la biodiversité agricole européenne n'y change donc rien. (V. les estimations de la FAO)

Si la Cour mentionne les dérogations supposément introduites par la Directive 2009/145 pour les "variétés de conservation", son analyse s'arrête à la lecture des grands titres. Comment les juges n'ont-ils pas voulu voir que les conditions d'inscription des variétés de conservation, dans la réalité, étaient restées pratiquement identiques à celles du catalogue officiel normal [1]? Le critère d'homogénéité, par exemple, particulièrement problématique pour les variétés anciennes, ne connaît aucune modération.

La Cour n'a-t-elle pas lu les témoignages de nos collègues européens, déjà confrontés à des inscriptions impossibles de leurs semences sur cette liste ?

 

La suite sur http://kokopelli-semences.fr/juridique/proces_perdu_2012

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13 juin 2012 3 13 /06 /juin /2012 13:13

Les éoliennes produisent une énergie verte, mais cela signifie-t-il pour autant qu’elles n’ont pas d’impact sur leur environnement ? Une nouvelle étude satellitaire démontre que les grandes fermes éoliennes peuvent provoquer un réchauffement local ou régional des températures au niveau du sol. Ce phénomène doit maintenant être mieux compris.

Les énergies renouvelables ont le vent en poupe car elles permettent de produire de l’électricité tout en limitant les émissions de gaz à effet de serre. Les fermes éoliennes fleurissent un peu partout dans le monde, tant sur terre qu’en mer. En 2011, la capacité électrique mondiale fournie par ces installations s’élevait à 238 gigawatts, soit 21 % de plus qu’en 2010. Si la tendance se confirme, ce nombre devrait atteindre les 500 gigawatts d’ici 2016.

Les éoliennes, malgré tout le bien que l’on en dit, ont également un impact sur leur milieu. En effet, les rotations des rotors perturbent plusieurs paramètres environnementaux, dont les interactions entre le sol et l’atmosphère et peut-être même le climat. Pour en savoir plus, Liming Zhou, de l’université d’Albany, a analysé durant huit ans les températures moyennes d’une partie du Texas riche en fermes éoliennes particulièrement grandes. Le verdict est tombé : la présence des champs d'aéromoteurs a engendré un réchauffement de l'air au niveau du sol à une échelle locale, et même parfois régionale. Les fermes éoliennes peuvent donc modifier le climat. Ce résultat est publié dans la revue Nature Climate Change.

La région d'Horse Hollow, au Texas, abrite à elle seule 421 éoliennes sur 190 km². La capacité électrique de ces installations est de 735,5 Mégawatts.
La région d'Horse Hollow, au Texas, abrite à elle seule 421 éoliennes sur une surface de 190 km². La capacité électrique de ces installations est de 735,5 mégawatts. © danishwindindustryassociation, Flickr, CC by-nc 2.0

La suite sur http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/developpement-durable-1/d/les-fermes-eoliennes-provoquent-un-rechauffement-climatique-local_38486/#xtor=RSS-8

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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 11:32

6905531.jpgC’est même sous le Sahara que gisent les réserves les plus importantes, depuis cinq mille ans.

 

Etonnant. L’immense lac Tchad a beau se tarir sous nos yeux et le désert du Sahara avancer inexorablement jour après jour, l’Afrique du Nord est néanmoins une région riche en eau. C’est la revue Environmental Research Letters qui l’affirme dans son édition d’hier. Des chercheurs du British Geological Survey et de l’University College de Londres ont en effet estimé que les eaux gisant sous l’Afrique sont cent fois plus abondantes que l’eau de surface renouvelée chaque année. Et vingt fois plus importantes que la réserve d’eau douce de l’ensemble des lacs du continent. Or, une bonne partie de ces ressources aquifères gît sous la Libye, l’Algérie, le Soudan, l’Egypte et le Tchad.

L’information est forcément décoiffante, quand on sait que plus de 300 millions d’Africains n’ont aujourd’hui pas accès à l’eau potable et que seulement 5% des terres arables du continent sont irriguées. Bien sûr, notent les chercheurs, ces eaux souterraines ne sont pas toutes exploitables. Mais les résultats de l’étude montrent tout de même que dans de nombreuses régions d’Afrique, le sous-sol peut tout à fait alimenter en eau potable la population locale, grâce à des pompes manuelles qui tirent entre 1 et 3 décilitres par seconde. Suffisamment, en principe, pour lutter contre le changement climatique.

Par contre, cette toute première carte des eaux souterraines d’Afrique, qui compile les résultats de plusieurs centaines d’études locales, ne laisse espérer que des possibilités très limitées pour l’exploitation commerciale de puits de forage dont le débit est généralement supérieur à 5 litres par seconde. A moins de dilapider ces ressources souterraines…

En raison des changements climatiques qui ont transformé le Sahara en désert au cours des siècles, une partie des ressources en eaux souterraines n’a probablement pas été alimentée depuis plus de cinq mille ans. Les scientifiques craignent donc que des puits de forage à haut rendement ne vident ces formidables réserves.

«Par contre, notre travail montre qu’il y a suffisamment d’eau pour une extraction modeste assurant l’eau potable et l’irrigation de petites communautés», explique Helen Bonsor, chercheuse au British Geological Survey. «Car même dans les régions semi-arides où il pleut rarement, les eaux semblent rester dans la terre sur une période de 20 à 70 ans. Cela peut permettre d’amortir les changements climatiques en cours et à venir.»  

 

(TDG) http://www.tdg.ch/monde/afrique/eau-abondance-continent-africain/story/17097409

20.04.2012
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