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20 janvier 2008 7 20 /01 /janvier /2008 08:58

Le taux du Livret A ne passera pas à 4 %

Une déception pour 45 millions d'épargnants, un soulagement pour le logement social. Le Premier ministre François Fillon a fixé hier à 3,5 % la rémunération du Livret A, et à 4,25 % celle du livret d'épargne populaire (LEP) à compter du 1er février. Pourtant, la progression de l'inflation et des taux d'intérêt auraient dû propulser le Livret A de 3 % à 4 % et le LEP de 4 % à 5 %, en vertu du mécanisme automatique instauré en 2003 pour mettre fin aux polémiques à chaque ajustement.

Selon Matignon, le nouveau taux du Livret A s'établira « à un niveau supérieur à l'inflation tout en préservant les conditions de financement du logement social ». « Cette décision fait suite au constat par le gouverneur de la Banque de France de l'existence de circonstances exceptionnelles », ont expliqué les services du Premier ministre. Selon les textes officiels, le mode de calcul peut être remis en cause si la Banque de France estime qu'une dérogation est justifiée. Depuis quelques jours, les acteurs du logement social, qui empruntent et rémunèrent les sommes collectées dans les livrets, s'étaient émus d'une forte hausse du taux de l'épargne réglementée, qui aurait augmenté le coût du financement des HLM.


Angeline Benoit (avec AFP) - ©2008 20 minutes




De plus en plus d'étudiants étrangers en France

Une auberge espagnole à la française. De plus en plus d'étrangers viennent étudier dans l'Hexagone, si l'on en croit les chiffres de l'agence CampusFrance, qui coordonne les actions des différents acteurs de la promotion et de l'organisation des études supérieures en France pour les étrangers. Leur nombre est ainsi passé de 150.000 en 1998 à 265.000 en 2006, a-t-elle affirmé ce vendredi.

Privilégier les secteurs scientifiques de pointe

«Nous sommes le troisième pays d'accueil d'étudiants étrangers après les Etats-Unis et la Grande-Bretagne», a déclaré André Siganos, directeur général de l'agence, lors d'un point presse. Toutefois, à l'avenir, le but n'est pas de «doubler ou tripler le nombre d'étudiants étrangers en France, mais d'avoir de la qualité du point de vue académique», a ajouté Gérard Blinder, président de l'agence.

Les secteurs d'études que l'agence souhaite voir privilégier sont «surtout les secteurs scientifiques de pointe: mathématiques, biotechnologies, énergie, environnement, sciences de l'information et de la communication, informatique etc», a précisé André Siganos.

Interrogés sur les atouts que présentait le système d'enseignement supérieur français aux yeux des étrangers, les responsables de campusFrance ont cité «un système de qualité, sérieux, non marchand». Selon André Siganos, la France est très demandée en particulier dans trois domaines: pour «ses instituts en économie de gestion», dans les «sciences de l'ingénieur» et pour «les études juridiques».

Le niveau d'étude privilégié est celui du master (bac+4 ou+5), voire du doctorat (Bac+8).

Baisse du nombre de visas délivrés

Interrogé sur la baisse du nombre de visas délivrés constatée depuis 2003 notamment chez les étudiants algériens ou marocains, Gérard Blinder a répondu que «les exigences avaient changé» - du point de vue des qualités académiques demandées - et que les «méthodes de contrôles» (par exemple les ressources demandées dans certains pays, au moment de la délivrance du visa) étaient devenues «plus réactives».




«Un milliard d?euros pour 50 quartiers sensibles»

Jusqu'à quand continuerons-nous de payer pour tous ces parasites ???

La secrétaire d'Etat à la politique de la Ville Fadela Amara (G), devant le secrétaire général de l'UMP Patrick Devedjian (D), le 15 octobre 2007 au siège de l'UMP à Paris, à l'issue d'un petit-déjeuner avec les dirigeants de l'UMP après la polémique auto
Bertrand Guay AFP ¦ La secrétaire d'Etat à la politique de la Ville Fadela Amara (G), devant le secrétaire général de l'UMP Patrick Devedjian (D), le 15 octobre 2007 au siège de l'UMP à Paris, à l'issue d'un petit-déjeuner avec les dirigeants de l'UMP après la polémique auto


Que reste-t-il du plan pour la banlieue de Fadela Amara? Après avoir revu ses ambitions à la baisse, la secrétaire d'Etat à la Politique de la ville lève le voile sur son très attendu (et décrié, notamment par sa ministre de tutelle, Christine Boutin) «plan Espoir Banlieue». Elle en détaille les grands axes, dans «Le Figaro Madame» à paraître samedi.

50 quartiers sensibles

«L?objectif du plan Espoir Banlieue est de casser les préjugés et de montrer que la banlieue, c?est aussi la France», annonce Fadela Amara. La secrétaire d?Etat affirme ainsi vouloir «mettre le paquet sur les cinquante quartiers les plus en difficulté». Elle promet pour cela une enveloppe d?«un milliard d'euros» pour leur désenclavement.

La première mesure de son plan banlieue, qui sera dévoilé le 2 février prochain, est d?«ouvrir ces quartiers sur l'extérieur», en améliorant «les transports bus, tramway, taxis collectifs». Autre piste: l'ouverture de «bureaux de recrutement au pied des cités, avec des partenaires privés et publics».

«Faire émerger une élite des quartiers»

La secrétaire d'Etat promet également pour les «jeunes sans qualification» un «parcours sécurisé avec du coaching, des formations, le financement du permis de conduire si besoin». Différentes expérimentations dans les collèges et lycées de banlieue sont également prévues, comme «multiplier les cafés de parents», ou encore «créer des pôles d'excellence» avec «apprentissage du solfège, ou du chinois, ou du latin et du grec».

But affiché de Fadela Amara: «faire émerger une élite des quartiers». Pour cela, elle mise sur la mixité sociale, citant l'exemple de Sciences-Po, qui a mis en place des conventions avec des lycées de ZEP. Une mesure qui, selon elle, «a donné un espoir phénoménal aux gamins dans les quartiers».

Le «plan banlieue» doit être débattu le 22 janvier prochain à Vaulx-en-Velin. Selon un confidentiel du «Figaro» de jeudi, Nicolas Sarkozy n?en sera pas. Le chef de l?Etat devait accompagner Fadela Amara mais il a préféré s'abstenir, «la copie du secrétaire d'Etat n'ayant pas convaincu l'Elysée».


20 minutes




"Je n'irai pas en Ferrari au conseil municipal. Ce serait provocant."

L'avocat sarkozyste Richard Brumm se présentant sur la liste de gauche de Gérard Collomb

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commentaires

B
Il reste leurs sales gueules.
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