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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 09:55
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15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 11:45
Est-il aussi ferme avec ses amis les racailles des banlieues qui saccagent tout ??
Le producteur et réalisateur Luc Besson le 18 janvier 2009 à Park City, Utah

Le producteur et réalisateur Luc Besson appelle à sanctionner l'ensemble de la chaîne économique du piratage sur internet, accusant de "grandes entreprises françaises" d'en retirer des intérêts financiers, dans une tribune publiée dans Le Monde daté de samedi-dimanche.

Le réalisateur salue les avancées du projet de loi sur le piratage, qui doit être examiné début mars à l'Assemblée nationale et instaure une riposte graduée envers les internautes. Il juge toutefois que ces derniers "ne sont pas les seuls responsables".

Le visionnage "gratuit et illicite" de contenus cinématographiques s'effectue sur des sites de téléchargement et de streaming, qui payent des "loyers numériques" à des hébergeurs et sont financés grâce à des contrats avec des régies publicitaires "qui se chargent de commercialiser leurs espaces auprès de grands annonceurs", explique M. Besson.

"Une économie du piratage se développe sur la Toile en toute impunité", s'insurge le réalisateur. Selon lui, "de grandes entreprises françaises sont impliquées à tous les niveaux de la chaîne de valeur et tirent un intérêt financier d'une activité illégale".

"Elles sont complices d'un délit, donc coupables, et doivent, dans un Etat de droit comme le nôtre, être condamnées et sanctionnées", juge-t-il.

 

AFP

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15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 11:11
  • Le numéro d'immatriculation sera composé d'une série de 7 caractères alphanumériques, d'un numéro de département et d'un logo régional.

  • Il ne s'agira pas forcément du département de la résidence, puisque "le choix de cet identifiant est libre", précise le ministère de l'Intérieur.

On en parle depuis longtemps. Elles arrivent enfin. Les nouvelles plaques d'immatriculation entreront en vigueur à partir du 15 avril pour les véhicules neufs. Un décret et deux arrêtés, parus mercredi au Journal officiel, précisent les modalités techniques des nouvelles plaques. Elles seront également obligatoires pour les véhicules d'occasion en cas de changement de propriétaire ou d'adresse et ce, dès le 15 juin.

Le numéro d'immatriculation sera désormais composé d'une série de 7 caractères alphanumériques (2 lettres, 1 tiret, 3 chiffres, 1 tiret et 2 lettres), sur le modèle AA-123-AA. Celui-ci sera attribué chronologiquement et apparaîtra en caractères noirs sur fond blanc. Ce numéro d'immatriculation sera attribué à vie au véhicule, de sa première mise en circulation jusqu'à sa destruction, qu'il change de propriétaire ou non. Sur la partie droite de la plaque et sur un fond bleu, sera apposé un identifiant territorial comprenant le numéro du département. Il ne s'agira pas forcément du département de la résidence, puisque "le choix de cet identifiant est libre", mais celui "avec lequel l'automobiliste ressent les attaches les plus fortes", précise-t-on au ministère de l'Intérieur. Mais attention ! Ce choix est définitif. Toutefois, en cas de rachat d'un véhicule d'occasion, vous pourrez, selon votre souhait, conserver la référence locale apposée par l'ancien propriétaire ou en choisir une autre.

Drapeau breton

Ce numéro sera en outre surmonté du logo officiel de la région dans laquelle est situé le département. Il est donc strictement impossible de panacher un département avec une région à laquelle il n'appartient pas (par exemple, si vous aimez le Morbihan mais aussi la Réunion, vous ne pourrez pas faire figurer le 56 avec le logo de la région d'Outre-Mer). Logo officiel, dites-vous ? Oui, sauf en Bretagne. Les élus armoricains ont en effet obtenu le droit de faire figurer sur les plaques le gwen ha du (blanc et noir, en breton), drapeau chargé d'histoire créé en 1923 par un militant régionaliste, de préférence à l'hermine stylisée qui symbolise le conseil régional breton.

 

LCI

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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 10:32
Avec l'aide de Google Earth, la police suisse a pu découvrir que des individus avaient dissimulé 7500 m² de marijuana au beau milieu d’un champ de maïs.

C'est dans le canton de Thurgovie, dans le nord-est du pays, que la police a découvert ce champ de cannabis. Initialement, les services policiers enquêtaient sur une vaste affaire de drogue et plus particulièrement, sur deux personnes suspectées dont ils recherchaient la trace par l'intermédiaire du logiciel de cartographie Google Earth. « Nous cherchions à localiser le domicile d’un des trafiquants dans le canton de Thurgovie grâce à Google Earth, a expliqué à nos confrères de la Tribune de Genève, Stefan Oberlin, de la police cantonale zurichoise. En observant la prise de vue, nous avons soudainement remarqué un champ étrange. » Les investigations se sont ensuite déroulées sur place, 1,1 tonne de marijuana et de haschich ont ainsi pu être découverts. Près de 600 000 francs suisses (400 000 euros) ont été également saisis.

top-logiciel.net
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14 décembre 2008 7 14 /12 /décembre /2008 11:40
Un puce de téléphone mobile

A l'avenir, l'ensemble des objets du quotidien, des lunettes au porte-clés, pourraient être équipés de puces électroniques, promettant un nombre infini d'applications révolutionnant le quotidien... au risque de menacer parfois les libertés individuelles.

"Le potentiel du marché est énorme", souligne Vincent Bonneau, analyste de l'Idate (Institut de l'audiovisuel et des télécoms en Europe), chacun possédant environ 2.000 objets.

Illustrant cette évolution vers le tout connecté, téléviseurs, baladeurs, appareils photo et cadres numériques permettent de plus en plus de se connecter à internet. Bientôt ce sera au tour des produits dépourvus d'électronique de faire leur entrée dans l'ère numérique.

Des applications, basées sur la technologie RFID (identification par radio-fréquence), existent déjà, à l'image du passe Navigo dans les transports parisiens, la géolocalisation des véhicules dans certaines entreprises ou encore les bracelets électroniques anti-enlèvement dans les maternités.

Cette technologie, notamment utilisée pour suivre les bagages dans certains aéroports ou les marchandises de l'usine aux magasins, est encore peu appliquée au grand public, mais le champ de possibilités est large.

A terme, le consommateur pourra par exemple dénicher une mine d'informations (prix, présence d'allergènes, d'OGM...) en approchant simplement son téléphone mobile d'un article. Le code-barres ne sera alors plus qu'un vieux souvenir.

Le principe est simple : si un objet doté d'une étiquette électronique est mis à proximité d'un lecteur (mobile, borne...), un signal d'identification est envoyé, permettant le déclenchement d'actions très diverses.

Au réveil, une simple tasse de café placée près d'un appareil : et hop, "votre boîte mail s'ouvre automatiquement sans avoir à rentrer le mot de passe", relate Toon Coopens, l'un des fondateurs de Tikitag, une filiale d'Alcatel-Lucent, qui propose une offre de ce type.

Vous rentrez de soirée, vous déposez vos clés, et un SMS est envoyé à vos proches pour les rassurer. Quant aux enfants, ils pourront choisir d'équiper leur ours en peluche pour "démarrer leur musique préférée".

Ces technologies, développées également par la société française Violet avec son lecteur "Mirror", font miroiter la promesse d'un monde entièrement connecté.

Mais il ne faut pas sous-estimer les "réticences des consommateurs européens" face aux menaces qu'elles font peser sur la vie privée, prévient Nick Jones, chef de recherche au sein du cabinet d'études Gartner.

La Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) met elle aussi en garde sur les risques liés au développement de ces objets "communicants".

L'objectif est de "mettre en place des outils aussi bien juridiques que techniques qui permettront à l'utilisateur d'avoir le contrôle sur les données qui seront détenues par ces puces", explique Gwendal Le Grand, chef du service de l'expertise informatique à la Cnil.

Dans le cas de la distribution, la Commission souhaite notamment "que la puce soit désactivée par défaut après le point de vente".

Une requête qui s'inscrit en ligne avec la position défendue par le gouvernement : le secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, Eric Besson, a ainsi récemment préconisé la mise au point de solutions assurant au citoyen un droit au "silence des puces".

AFP

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20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 22:19


PARIS (AFP) — Le fichier policier Edvige a été officiellement retiré jeudi, ce qui lui ôte toute existence légale, à la satisfaction de ses opposants qui restent toutefois "vigilants" face au "flou" entourant la mise en place de sa future version.

Le retrait d'Edvige, qui a remplacé le 1er juillet le fichier des Renseignements généraux (RG), a été décidé mi-septembre par le gouvernement à la suite du tollé provoqué par le type de données "sensibles" collectées (santé, sexualité, personnalités, mineurs dès 13 ans).

Mais ce n'est que jeudi que le Journal officiel a publié un bref décret du ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie annonçant que "le décret numéro 2008-632 du 27 juin 2008 portant création d'un traitement automatisé de données à caractère personnel dénommé +Edvige+ est retiré".

Le remplacement d'Edvige, acronyme d'"Exploitation documentaire et valorisation de l'information générale", par un nouveau fichier, annoncé par Matignon le 18 septembre, n'est toujours pas effectif.

Le décret instituant ce nouveau fichier, baptisé EDVIRSP (pour "exploitation documentation et valorisation de l'information relative à la sécurité publique"), est actuellement soumis à l'avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), qui délibérait à son sujet jeudi. Il devrait être ensuite présenté au Conseil d'Etat.

Le nouveau fichier ne devrait plus inclure des données sur la santé ou la vie sexuelle ainsi que sur des personnalités exerçant un mandat ou jouant un rôle institutionnel, économique, social ou religieux "significatif".

Juridiquement, le "retrait" d'Edvige, à distinguer d'une "abrogation", a un effet rétroactif.

Cela signifie que ce fichier "n'a jamais existé", a expliqué Hélène Masse-Dessen, avocate du collectif d'associations "Non à Edvige". "Toutes les informations rentrées sont censées disparaître."

Un document interne du ministère de l'Intérieur sur "l'évolution des fichiers de renseignement", daté du 17 octobre et évoqué par l'AFP le 26 octobre, avait anticipé en demandant aux services concernés "de cesser toute alimentation ou consultation du fichier" Edvige et "de retirer de ce fichier les données qui ont pu y être intégrées".

Cette note du directeur de cabinet de Michèle Alliot-Marie précisait aussi que l'ancien fichier des RG ne pouvait "depuis le 1er juillet 2008 faire l'objet d'aucune alimentation nouvelle" et qu'"à partir du 31 décembre 2009, toute consultation de ce fichier sera également impossible".

Dans l'attente du nouveau fichier EDVIRSP, plus aucune donnée du type de celles jusqu'à présent collectées ne peut donc légalement être répertoriée, ce qui laisse dubitatifs les juristes.

L'un d'eux, interrogé jeudi par l'AFP, n'imagine pas les policiers stopper toute collecte en attendant EDVIRSP, soulignant qu'il existe d'autres fichiers comme par exemple Cristina, soeur jumelle d'Edvige classée secret-défense, qui peuvent donner une base légale à ce travail de renseignement.

"On est maintenant dans un flou juridique et ce flou ne profite jamais aux libertés", a commenté Mme Masse-Dessen.

D'où la satisfaction prudente des opposants à Edvige. Le retrait est "une première victoire qui n'altère pas notre vigilance", a commenté le Collectif contre l'homophobie. "La vigilance et la mobilisation restent plus que jamais à l'ordre du jour", a renchéri l'association "Imaginons un réseau internet solidaire" (Iris).

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1 novembre 2008 6 01 /11 /novembre /2008 15:41

Des techniciens travaillent sur une antenne de relai téléphonique

Pétitions, manifestations, procès: les opérateurs de téléphonie mobile sont souvent confrontés à la grogne des particuliers contre l'implantation d'antennes-relais, un déploiement pourtant nécessaire pour assurer l'obligation de couverture du territoire.

"Il devient difficile de concilier le souhait légitime du consommateur qui veut l'accès aux services mobiles partout avec les réticences de ceux qui ne veulent pas d'antennes près de chez eux", s'inquiète Emmanuel Forest, directeur général de Bouygues Telecom, condamné en septembre à démonter une antenne-relais dans le Rhône.

Les opérateurs rappellent qu'ils sont en effet soumis à un certain nombre d'exigences quant au déploiement de leurs réseaux.

Outre leur obligation de licence, ils sont parties prenantes du plan de couverture des "zones blanches" (zones sans couverture mobile), leur imposant de couvrir toutes les communes avant 2011 et de celui relatif à la couverture de tous les axes de transports prioritaires, soit 52.000 km de routes.

Les trois opérateurs français (Bouygues Telecom, Orange et SFR) poursuivent également le déploiement pour éviter les saturations -- une antenne est saturée au-delà d'une soixantaine de communications simultanées -- et permettre le développement de l'internet mobile.

En 2007, 2.430 nouvelles antennes ont ainsi été installées. Il s'agit d'implantations réglementées sans danger pour les populations, soulignent les opérateurs.

"Tous les avis sont clairs et convergents: il n'existe aucun danger à vivre près d'une antenne-relais", affirme Jean-Marie Danjou, secrétaire général de l'Association française des opérateurs mobiles (Afom). Ces expertises sont toutefois contestées par les associations, comme Priartem, qui dénoncent le manque de recul historique.

"Il est étrange de constater que les gens se méfient des antennes de téléphonie alors qu'ils ne craignent pas les antennes de télévision et de radio qui pourtant émettent dans des fréquences voisines!", ajoute M. Danjou.

La France compte en effet 47.000 antennes-relais de téléphonie mobile tous opérateurs confondus sur 120.000 émetteurs de radio-fréquences (radio, TV, Samu, pompier, police...).

"Il y a un côté excessif des deux côtés: dans les zones non-couvertes, les habitants s'insurgent en disant que les médecins, les entrepreneurs ne peuvent pas travailler et quand on implante une antenne, les gens évoquent des risques sanitaires", renchérit une source proche d'un opérateur.

Pour apaiser les inquiétudes, des mesures, que le gouvernement souhaite encore renforcer, ont été mises en place. Chacun peut ainsi demander que soit mesurée chez lui ou sur son lieu de travail son exposition aux ondes radio, et un site internet (www.cartoradio.fr) répertorie toutes les antennes installées dans l'Hexagone.

Ces tests sont réalisés par des organismes indépendants mais pris en charge financièrement par les opérateurs. "Et on constate souvent, lors de ces mesures, que les principales ondes ne sont pas celles de la téléphonie mobile", insistent ces derniers.

Autre point de litige, ces pylônes sont souvent considérés par les riverains comme une "atteinte" aux paysages.

Les opérateurs proposent donc aux collectivités locales et aux riverains la mise en place d'antennes "décoratives" (96% des cas en 2007), sous forme d'arbres ou camouflées en fausse cheminée pour respecter les bâtiments. Un camouflage qui ne suffit pas toujours à calmer les esprits.

AFP

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31 octobre 2008 5 31 /10 /octobre /2008 10:07

Les navettes spaciales Atlantis (g) et Endeavour au Centre spacial Kennedy à Cap Canaveral, en Floride, le 20 septembre 2008

Un exemplaire de la Déclaration universelle des droits de l'homme sera envoyé le 14 novembre par la navette spatiale Endeavour à bord de la Station spatiale internationale (ISS), a annoncé mercredi l'Agence spatiale européenne (ESA) dans un communiqué.

Cet exemplaire, qui sera conservé dans le laboratoire européen Columbus de l'ISS, sera remis le 7 novembre au directeur général de l'ESA, Jean-Jacques Dordain, par la secrétaire d'Etat française chargée des Affaires étrangères et des droits de l'homme, Mme Rama Yade.

Cet événement s'inscrit dans les manifestations du 60e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'homme adoptée le 10 décembre 1948 par l'Assemblée générale des Nations unies, a rappelé l'ESA.

"Au moment où l'universalité des droits est remise en cause sur Terre, quel meilleur symbole que cette Déclaration placée au-dessus de l'humanité?", a souligné dans le communiqué l'ambassadeur français chargé des droits de l'homme, François Zimeray.

"D'Hérodote à Galilée, il y a un lien profond qui relie l'aspiration des hommes à la liberté, à l'universel, et la fascination pour l'espace", a-t-il ajouté.

Endeavour décollera de Cap Canaveral avec cinq hommes et deux femmes à bord pour une mission de 15 jours essentiellement destinée à préparer l'ISS à recevoir un équipage permanent de six membres au lieu de trois aujourd'hui.

AFP

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3 octobre 2008 5 03 /10 /octobre /2008 09:42
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30 septembre 2008 2 30 /09 /septembre /2008 16:29

La police britannique a ouvert une enquête après la vente sur le site d'enchères eBay d'un appareil numérique qui contiendrait selon le Sun des photos de suspects de terrorisme provenant du MI6 (renseignement extérieur), a annoncé mardi un porte-parole.

L'appareil contenait, outre ces clichés de suspects avec leur identité et leurs empreintes digitales, des photos de lance-roquettes et de missiles, selon le tabloïd The Sun.

L'acheteur, qui a acquis l'appareil pour la modique somme de 17 livres (21 euros), a découvert ces photos et données, apparemment collectées par le MI6, en téléchargeant ses propres clichés sur son ordinateur, selon le journal.

"Nous pouvons confirmer que nous avons saisi un appareil photo après qu'un particulier nous l'eut signalé", a déclaré un porte-parole de la police du Hertfordshire, précisant que les services de renseignement participaient à l'enquête.

De son côté, un porte-parole du Foreign Office a confirmé qu'une enquête avait été lancée, sans confirmer si l'appareil avait pu être vendu par un agent du MI6.

"Il est rentré chez lui au début du mois, il a téléchargé ses photos de vacances et découvert qu'il y avait des lance-roquettes et des missiles," a raconté au Sun un ami de l'acheteur. "Il savait qu'il ne les avait pas prises lui-même, alors ses amis lui ont suggéré d'aller à la police".

AFP

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