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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 10:56
COLOMA 2009 : La fin du capitalisme ?

Comme chaque année, le mouvement NATION vous donne rendez-vous au château du Coloma à Sint-pieters-leeuw pour une nouvelle "Fête de l’identité". Le samedi 28 février 2009 à partir de 12h30, vous êtes pris !


Le thème qui sera abordé au cours d’une série de conférences avec diverses personnalités du milieu national sera d’actualité : La fin du capitalisme.

Comme toujours, de nombreux stands d’exposants et un sandwichbar seront à votre disposition.

Pour se rendre sur place :

+ Via le ring ouest de Bruxelles, à la sortie 16, direction Sint-pieters-leeuw.

+ En bus, ligne H, à la gare du midi de Bruxelles qui s’arrête à la rue de pauw

 

 

www.nation.be



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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 10:54
Son PDG Christophe de Margerie a indiqué être «confiant dans sa capacité à traverser une crise économique majeure». (photo Figaro)
Son PDG Christophe de Margerie a indiqué être «confiant dans sa capacité à traverser une crise économique majeure». (photo Figaro)

Le groupe a réalisé un bénéfice de 13,9 milliards d'euros, et un chiffre d'affaires de 180 milliards d'euros. Ce sont les plus gros résultats jamais publiés par un groupe français.

C'est le plus gros profit jamais réalisé par une entreprise française. Le groupe pétrolier Total a annoncé avoir réalisé un bénéfice de 13,9 milliards d'euros en 2008. Le bénéfice net ajusté du groupe a ainsi progressé de 14% sur l'année, et ce malgré un tassement de son activité au quatrième trimestre. Le chiffre d'affaires, lui, s'est établi à 179,98 milliards d'euros, en hausse de 13% par rapport à 2007.

Total a toutefois souffert au quatrième trimestre du repli des prix du pétrole, qui ont largement profité en cours d'année au géant pétrolier. Ces derniers se sont en effet établis à 97 dollars le baril en moyenne sur l'année 2008, soit un chiffre supérieur de 25 dollars à celui de l'année 2007. Les prix du brut avaient atteint, en juillet 2008, 147 dollars le baril, avant de redescendre à 55 dollars en moyenne au 4e trimestre. Total a ainsi enregistré un recul de 8% de ses profits sur la période à 2,9 milliards d'euros, un niveau toutefois supérieur aux attentes des analystes.

Ceci motive les investisseurs à acheter le titre en bourse. L'action gagne 0.75% à 40.39 euros à 10h15.

 

Poursuite de l'investissement

Le pétrolier a par ailleurs tiré parti de marges de raffinage élevées en Europe «portées par une demande toujours soutenue en diesel», selon les mots de Christophe de Margerie, son directeur général. Les marges de raffinage européennes se sont établies à 41,4 dollars par tonne de brut sur le quatrième trimestre, en hausse de 38% par rapport à la même période de l'année précédente, précise le groupe.

Total va utiliser ces profits pour l'investissement. Le groupe entend investir 18 milliards de dollars en 2009, soit à peu près autant qu'en 2008 (18,3 milliards de dollars ou 12,44 milliards d'euros).

La publication de tels profits suscitait une certaine inquiétude au sein du management de Total, en pleine crise économique.

Concernant 2009, Christophe de Margerie a indiqué être «confiant dans sa capacité à traverser une crise économique majeure, sans remettre en cause sa capacité d'investissement et son développement sur le long terme».

 

Le Figaro

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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 10:53
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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 10:51
Crédit photo : Bouchon - Le Figaro
Crédit photo : Bouchon - Le Figaro Crédits photo : AP

Le groupe précise que le bénéfice 2008 a chuté de 39,5% à 3,4 milliards d'euros, due à la prolongation en France de certains tarifs réglementés. L'action est sanctionnée.

La prolongation des tarifs réglementés jusqu'à 2010 constitue un handicap pour EDF. Le groupe a présenté des résultats inférieurs aux attentes. Le résultat net part du groupe 2008 s'établit à 3,4 milliards d'euros en baisse de 39,5%. En 2008, le chiffre d'affaires s'élève à 64,3 milliards d'euros (+10,6% en organique) et le résultat net courant à 4,3 milliards d'euros, en recul de 7,9%, alors que le marché attendait un chiffre de 4,5 milliards.
La bourse a mal accueilli ces résultats. L'action perd 6,61% à 33,20 euros à 10h20.


Un bénéfice impacté par le Tartam

Le bénéfice «intègre 908 millions d'euros d'éléments non récurrents négatifs, principalement liés à la provision prise au titre de la compensation des fournisseurs concurrents dans le cadre de la prolongation du Tartam (tarif réglementé transitoire d'ajustement au marché)», explique EDF. Le Tartam est un tarif de l'électricité inférieur au prix de marché pour certaines entreprises. Il a été instauré le 3 janvier 2007 et était valable jusqu'au 30 juin 2009. Un amendement au projet de loi de modernisation de l'économie a prolongé cette mesure jusqu'au 30 juin 2010.

L'excédent brut d'exploitation (Ebitda) se monte à 14,2 milliards d'euros, après provision. En excluant l'effet de la provision liée au Tartam, l' Ebitda est de 15,435 milliards d'euros, avec une croissance organique de 3,7%, alors qu'il tablait sur une croissance organique de 3%.


Vaste programme de cession d'actifs de 5 milliards d'euros

Dans le communiqué, EDF précise que pour 2009, il va privilégier «la croissance organique par l'investissement, notamment en France, l'amélioration de la performance opérationnelle, l'intégration des sociétés nouvellement acquises et le renforcement de notre structure financière». C'est pourquoi, la société va mettre en place un nouveau programme de cessions de plus de 5 milliards d'euros sur la période 2009/2010, sans donner plus de détails.

2009 s'ouvre dans un environnement marqué par les incertitudes nées de la crise économique et financière. EDF n'anticipe pas de hausse du résultat net courant avant exceptionnels pour 2009 et prévoit une croissance organique modérée de l'Ebitda. EDF va proposer pour 2008 un dividende à 1,28 euro par action, stable par rapport à 2007.


Hausse du chiffre d'affaires de 6,3% en France et de 15,6% à l'international

Dans les détails, en France, le chiffre d'affaires s'élève à 34,3 milliards d'euros, en croissance de +6,3%, dont 3,8 points liés aux évolutions de prix et de tarifs, 1 point au développement des ventes de gaz naturel et de services et seulement 1,5 point de croissance des volumes. Côté production, la production hydraulique est en hausse de 4,8 TWh pour atteindre 38,4 TWh. La production nucléaire est stable à 417,6 TWh, la hausse de 1 point du coefficient d'utilisation ou ku (95,2% à fin 2008) par rapport à 2007 compensant la baisse de 1 point du coefficient de disponibilité ou kd (79,2% à fin 2008).

A l'international, le chiffre d'affaires s'élève à 30 milliards d'euros, en croissance organique de +15,6%. L'EBITDA s'élève à 5,2 milliards d'euros, en croissance organique de +6,5%, portée par les évolutions de prix et de tarifs au Royaume-Uni, les bons résultats des activités électriques en Allemagne et les excellentes performances d'EDF Trading.

Le groupe a engagé en 2008 le programme Excellence Opérationnelle, qui vise à améliorer sa performance dans toutes ses dimensions. En 2008, le total des gains est estimé à 285 millions d'euros, en ligne avec l'objectif de 1 milliard d'euros de gains nets à l'horizon 2010. De multiples plans d'actions ont ainsi été déployés dans l'ensemble du groupe.

 

Le Figaro

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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 10:50
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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 10:45

Les blagues fusent sur le Web chinois pour se moquer de la censure qui a voulu occulter l'incendie d'une tour à Pékin.

 

Les autorités chinoises n'ont pas réussi à empêcher 20 millions de Pékinois de filmer l'incendie du Mandarin Oriental Hotel.
Les autorités chinoises n'ont pas réussi à empêcher 20 millions de Pékinois de filmer l'incendie du Mandarin Oriental Hotel. Crédits photo : AP

Il est rare que la propagande d'État en Chine se mette dans la position d'être ridiculisée par les 1,3 milliard de téléspectateurs de l'empire du Milieu. Mais l'incendie du chantier d'un immeuble de 29 étages, provoqué lundi soir par une fusée de feux d'artifice tirée depuis le siège de la télévision chinoise (la CCTV), et dont cette télé n'a ensuite soufflé mot, ridiculise le gouvernement chinois et sa censure.

Car 20 millions de Pékinois ont pu filmer en direct ce brasier, en plein cœur de la capitale, qui a coûté la vie à un pompier et en a blessé six autres, sans compter les centaines de millions de yuans partis en fumée.

Les causes de cet accident ? Des employés de la CCTV avaient fêté le dernier jour de l'année lunaire en tirant des feux d'artifice, en toute illégalité. L'une des fusées était tombée sur le toit de l'immeuble voisin en construction, qui de­vait héberger un grand hôtel de luxe, un studio de télévision et un centre technique, signé par l'architecte néerlandais Rem Koolhaas. L'un de ces totems de la modernité chinoise dont le gouvernement de Pékin a parsemé la capitale. Cela donc à deux pas de la magnifique tour CCTV, haute de 234 mètres, conçue par le même architecte…

Les Chinois ont eu mercredi l'illustration du processus systématique de désinformation dont ils sont quotidiennement l'objet : mardi matin, CCTV s'excusait pour cet accident, regrettant «les dommages importants que l'incendie a infligés aux propriétés du pays». Mais on ne trouvait pas d'images du sinistre à la une des quotidiens (tous soumis à la censure du Parti communiste chinois), sur les sites d'Internet (filtrés par la même censure) ou sur les petits écrans. Dès mardi soir, l'affaire avait été gommée par l'agence Chine nouvelle. Et bien sûr par CCTV, chargée de lancer prochainement une chaîne d'information continue internationale, une CNN à la chinoise…

 

«Médias du peuple»

Comme les Chinois ont un grand sens de l'humour et adorent se moquer de leurs dirigeants, les internautes ont fait circuler des images de l'incendie - et de la fusée CCTV qui l'avait provoqué - sur leurs ordinateurs et leurs téléphones mobiles. Wang Xiaofeng, un blogueur, commentait : «Les em­ployés de la CCTV ont accidentellement créé l'un des événements majeurs de l'année, mais ils n'ont pas su en parler. Ils n'ont pas senti l'urgence de rapporter ces événements, alors qu'ils se déroulaient sous leurs yeux… Les médias officiels ont été battus par les médias du peuple.»

C'est ainsi que les malheureux censeurs d'Internet en Chine (ils sont 40 000) ont beaucoup de travail pour effacer de la Toile tous ces commentaires désobligeants. Car, de toute évidence, la censure en Chine n'apprécie pas l'information de proximité. Elle reste en retard d'un quart de siècle sur une population beaucoup plus mature qu'elle. Et sur des milliards de SMS rigolards, impossibles à sanctionner…

 

Le Figaro

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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 10:43

Un Français du 35e régiment d'artillerie parachutiste de Tarbes a été tué hier en Afghanistan, dans la province du Logar, au sud-est de Kaboul. Cet officier a péri dans un accrochage avec des insurgés après l'explosion d'une mine artisanale, a annoncé le ministère de la Défense. « Un brigadier-chef appartenant à la même unité a été gravement blessé et un interprète afghan a également trouvé la mort dans cet incident », a précisé le ministère. Nicolas Sarkozy a aussitôt fait part de sa « vive émotion ». Cela porte à vingt-cinq le nombre de soldats français tués dans ce pays depuis 2002.

La même journée, une série d'attaques quasi simultanées contre des bâtiments du gouvernement a fait vingt-six morts, essentiellement civils, à Kaboul. Elle a été aussitôt revendiquée par les talibans, preuve que l'insurrection islamiste s'intensifie et devient de plus en plus audacieuse.

Ces attentats interviennent alors que le président américain, Barack Obama, devrait prendre une décision « dans les prochains jours » sur l'envoi de soldats supplémentaires pour prêter main-forte aux quelque 70 000 militaires des deux forces internationales déjà présents en Afghanistan, celle de l'Otan et celle commandée par les Etats-Unis. Kaboul, jusqu'alors épargnée par les insurgés islamistes, est devenue le théâtre, depuis deux ans, d'attaques de plus en plus fréquentes, signe que les talibans gagnent du terrain malgré la présence de la coalition internationale.

20 Minutes
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11 février 2009 3 11 /02 /février /2009 11:22
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11 février 2009 3 11 /02 /février /2009 10:59
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11 février 2009 3 11 /02 /février /2009 10:49
Le Front national vient de tourner une page de son histoire à Dreux (Eure-et-Loir), la ville qui lui a offert l'une de ses premières victoires électorales au début des années 1980, en mettant à la porte pour dissidence l'ancien responsable local du mouvement, Jacques Dautrême.

Conseiller régional du Centre, acteur majeur de ce que le Front avait qualifié de "tonnerre de Dreux", M. Dautrême a décidé de soutenir la démarche de Carl Lang, député européen FN sortant en passe de créer un nouveau parti. "Je me doutais bien qu'ils allaient m'exclure", raconte-t-il à l'AFP, évoquant le parti pour lequel il a milité pendant 31 ans.

"On m'a reproché la boutade que j'avais lancée au moment de l'élection de Nicolas Sarkozy. J'avais dit : +puisqu'il a été élu sur nos idées, pourquoi ne pas appeler à voter pour lui ?+", assure-t-il. Aux dernières municipales de 2008, le FN n'a même pas présenté de liste à Dreux, échaudé par sa déroute aux élections législatives de 2007 dans la circonscription (7,77% des suffrages exprimés).

Les combats politiques de Jacques Dautrême sont désormais rangés au rayon des souvenirs. Surtout celui de mars 1983.

Pour la première fois, une liste RPR, conduite alors par René-Jean Fontanille, osa alors l'impensable : une alliance avec un Front national jusqu'alors embryonnaire, emmené par l'emblématique Jean-Pierre Stirbois, à qui il est confié, entre les deux tours, la sixième place d'une liste recomposée. Le ticket est presque payant et René-Jean Fontanille ne rate l'écharpe tricolore que de 17 voix. Un faible écart qui aboutit à l'invalidation du scrutin.

C'est le retour aux urnes quelques semaines plus tard. Cette fois-ci, c'est le gaulliste Jean Hieaux qui conduit la liste de droite et consomme la seconde alliance avec le FN. Au soir du second tour, la droite remporte la ville de Dreux avec les voix frontistes.

Après le décès accidentel de Jean-Pierre Stirbois à l'automne 1988, son épouse Marie-France prendra sa succession dans l'engagement local, multipliant les mandats : conseillère municipale, députée, conseillère générale, conseillère régionale, eurodéputée... Mais, malgré plusieurs tentatives, elle n'arrivera jamais a conquérir la mairie de Dreux et préférera aller tenter sa chance à Nice, dont elle deviendra conseillère municipale en 2001.

Depuis, le FN n'a jamais vraiment réussi à remonter la pente à Dreux. "C'est terminé. A Dreux, il ne reste plus qu'une dizaine de militants. Et beaucoup vont me suivre", affirme Jacques Dautrême.

"Le FN est en pleine débâcle. Marine Le Pen a détruit en trois ans ce que son père a construit en trente ans", n'hésite pas à affirmer l'ex-élu frontiste. "Après Jean-Marie Le Pen, il n'y aura plus de Front", est-il persuadé. "Le parti a perdu de sa hauteur et de sa crédibilité".

Le seul à y croire encore, c'est le responsable départemental du FN, le conseiller régional du Centre, Philippe Loiseau. Selon lui, "la section de Dreux est en pleine reconstruction. Nous n'avons plus de responsable local, mais nous allons monter une équipe composée de jeunes qui s'occuperont de remonter la section".


Une section qui n'a plus de permanence dans la ville. Le bail n'a pas été reconduit.

 

AFP

 

 

Tout n'est pas terminé ! Soutenez les militants de  http://identitefrancaise.hautetfort.com/

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