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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 16:37


De nombreuses plaintes d’étudiants de l’ULB sont tombées dans les oreilles de membres de notre mouvement.

Les plaintes principales concernent l’annulation des activités sportives, dispensées gratuitement par l’université.

La salle de sport est utilisée à la fois par la section sport, mais également pour certains cours qui ne sont, dès lors, plus dispensés.

Pour cette raison, une délégation du mouvement NATION, composée notamment du secrétaire de la section de Bruxelles, s’est rendue sur place ce mercredi 26 novembre vers 15h30, et ceci afin de se rendre compte des conditions d’occupation de la salle de sport.



Nous vous livrons ici leurs impressions.

« Nous sommes entrés dans le bâtiment par le couloir principal devant les illégaux et sous le nez d’étudiants d’extrême-gauche. Stupeur, une odeur nauséabonde règne dans les couloirs de la salle de sport. L’état de saleté démontre un laisser aller incompréhensible. Une autre odeur, venant d’un couloir perpendiculaire, nous attire vers une table, où l’on peut voir des plaques de cuisson. Sur celles-ci sont jonchées des casseroles sales, qui laissent supposer que nous sommes dans le coin cuisine.

Nous pouvons remarquer le manque de sécurité de cette installation de fortune. Nous sommes également surpris de voir des illégaux se raser la tête en plein milieu du couloir principal.

Notre présence semble ne déranger aucunement les musulmans occupés à leur prière sur des tapis.

Nous avons continué notre visite en utilisant les escaliers vers le couloir menant à l’étage inférieur. En sous-sol, nous avons remarqué qu’à peine une seule douche fonctionne pour 300 personnes et qu’aucun urinoir n’est fonctionnel.

Nous sommes alors remontés vers le couloir principal afin d’emprunter les escaliers qui mènent à l’étage supérieur, où les constatations sont identiques : il n’y a aucune surveillance et les sans papiers sont livrés a eux-mêmes.

Indignés, nous ressortons de cette bâtisse avec les questions suivantes : comment un recteur d’université a-t-il pu autoriser qu’un bâtiment de son université soit occupé de la sorte ? Comment se fait-il qu’il tolère que certains cours ne soient plus dispensés ? Comment se fait-il qu’il autorise une occupation sans la moindre surveillance et comment se fait-il qu’il n’y ait aucun règlement strict afin d’éviter un incident ?

Prendra-t-il ses responsabilités si un accident, ou un incendie, venait à survenir ?

La responsabilité incombe aussi aux associations d’aide aux illégaux et aux cercles d’étudiants dont l’amateurisme et l’irresponsabilité sont flagrants.

Le mouvement NATION reste attentif à cette occupation désastreuse et se tient prêt à des actions, si nécessaire. En attendant nous demandons à nos membres et aux universitaires mécontents de faire pression sur le recteur de l’université et sur son président afin que cette occupation cesse immédiatement.

En tous les cas nous avons laissé une trace de notre passage devant l’entrée du complexe sportif de l’ULB...

-  Philippe VINCKE, Recteur de l’Université

secrétariat : tel 02 650 23 17(23 31 - 32 01), fax 02 650 36 30, elennertz@admin.ulb.ac.be

Campus du Solbosch, bâtiment R localisation : avenue Depage 1, 1050 Bruxelles

courrier : ULB CP130, avenue F.D. Roosevelt 50, 1050 Bruxelles

-  Jean-Louis VANHERWEGHEM, Président de l’Université

secrétariat : tel 02 650 23 22, fax 02 650 35 94, Marion.Vandaudenard@ulb.ac.be

Campus du Solbosch, bâtiment R localisation : avenue Depage 1, 1050 Bruxelles

courrier : ULB CP130, avenue F.D. Roosevelt 50, 1050 Bruxelles


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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 19:32


Une info que j'ai oublié de publier !!



Le 18 novembre, des centaines de Phalangistes et autres nostalgiques du passé franquiste de l’Espagne se sont rassemblés, alors que la tension monte entre la gauche et l’extrême droite, après des affrontements qui ont fait un mort le 11 novembre.




La manifestation, sur la Plaza de Oriente dans la capitale espagnole, rendait hommage à José Antonio Primo de Rivera, dirigeant d’extrême droite fondateur de la Phalange franquiste, fusillé le 20 novembre 1936 par les Républicains pendant la Guerre civile espagnole.

Les nostalgiques du franquisme commémorent également la mort du général Francisco Franco, le 20 novembre 1975.

Le 16 novembre, les manifestants de gauche avaient quant à eux défilé dans plusieurs villes du pays, protestant après la mort d’un adolescent poignardé par un militant d’extrême droite. Si les défilés se sont déroulé dans le calme à Madrid et Saragosse, des affrontements ont eu lieu à Barcelone, faisant une vingtaine de blessés chez les forces de l’ordre et débouchant sur plusieurs interpellations.

Dimache Blas Piñar, dirigeant du parti ultranationaliste « Fuerza Nueva », a rendu hommage à Primo de Rivera et au général Franco. Il a qualifié la guerre civile de croisade contre le communisme.

Les manifestants ont dénoncé le gouvernement socialiste et reprochant au roi Juan Carlos d’avoir permis l’avènement de la démocratie après la mort du dictateur. Ils ont également brandi le drapeau de l’Italie mussolinienne, chanté les hymnes de l’époque et fait le salut fasciste.

La plupart des manifestants se sont ensuite rendus au Valle de los Caidos, immense mausolée construit sous la dictature en hommage aux martyrs du franquisme, et où se trouvent les tombes de Franco et de Primo de Rivera, à 54 km de Madrid.

Et ce alors que le parlement espagnol vient d’adopter la « Loi de mémoire historique », réhabilitant la mémoire des victimes de la guerre civile. Et qui condamne aussi officiellement, et pour la première fois, le régime du général Franco, prévoyant le retrait de tous ses symboles, dont les statues et les noms de rue.

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26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 12:02

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26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 11:37


anniversaire synthèse 2 136.jpg

 

Malgré la neige, les grèves à la SNCF, et surtout malgré la crise de confiance qui sévit actuellement au sein de notre famille politique, la 2ème journée nationale et identitaire organisée dimanche à Paris a été une belle réussite pour notre association et pour notre revue.

 

Près de 400 personnes sont passées tout au long de la journée. Elles purent visiter les stands (Flash, Terre et Peuple, Terres celtiques, Cercle Franco-hispanique, Editions du Lore, Diffusia, France Résistance, Fier de l’être, la NDP, différents mouvements nationaux, Primatice et plusieurs librairies nationalistes et anti-conformistes…) et rencontrer l’ensemble des intervenants et collaborateurs présents (Patrick Parment, Arnaud Raffard de Brienne, Anne Kling, Jean-Claude Rolinat, Nicolas Tandler, Lionel Baland, Philippe Randa, Pieter Kerstens…) de Synthèse nationale. Les trois tables rondes qui se sont succédées, pour lesquelles chacun s'accordait à reconnaître la remarquable qualité des interventions, et les discours des responsables politiques européens, tels Utta Schrembs (Pro Deutschland) et, bien sûr, Filip Dewinter, député d’Anvers et porte-parole du Vlaams belang, ont suscité l’enthousiasme des participants.

 

Il en fut de même lorsque Pierre Descaves, ancien député et conseiller régional de Picardie, lut, au début de son intervention, le message d’amitié que nous a adressé Carl Lang. Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, fut aussi longuement applaudi lorsqu’il appela à l’unité de la résistance face à l’invasion et contre les nouveaux collabos de cette invasion. Robert Spieler nous fit part aussi du message de Pierre Vial, qui ne pouvait être des nôtres en raison d'un déplacement à l'étranger.

 

Notons aussi les brillantes interventions d’André Gandillon, rédacteur en chef de Militant, de Maître Frédéric Pichon, Président d’Europae gentes, et de Laurent Leclerc, responsable de Dreux identité française, que nous remercions pour leurs contributions à la réussite des tables rondes.

 

Il revenait à Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, de conclure cette journée en appelant les militants présents à se préparer aux combats de demain :  « L’heure viendra vite où nous devrons procéder au réveil des forces vives du mouvement national. Bientôt, le vent soufflera à nouveau dans les voiles et nous devrons être prêts. Nous devrons redresser nos bannières, que celles-ci soient frappées de la croix celtique ou du trident, du marteau de Thor ou du Sacré-Cœur, de la flamme tricolore ou de la feuille de chêne, peu importe, nous devrons nous retrouver tous pour le grand combat qui commencera pour imposer cette belle idée de l’Europe de la puissance, une Europe de la puissance respectueuse des nations et des peuples qui la composent, une Europe de la puissance seule capable de nous redonner notre fierté, notre liberté et notre grandeur ».

 

Merci à tous les volontaires (les hôtesses au stand d'abonnements, le bar et  la restauration - qui remportèrent un vif succès -, le service d'ordre, la sono, l'accueil...) qui ont contribué à la bonne réussite de cette journée. Très rapidement, nous publierons les photos et les films réalisés à cette occasion.


http://synthesenationale.hautetfort.com/

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25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 10:03

oeuvre francaise



A l'initiative du Journal Jeune NATION, se tiendra à Lyon le 6 décembre 2008 de 11 heures à 18 heures, le XIIe FORUM DE LA NATION.

Sur le thème "Penser global, agir national".

En présence de nombreuses personnalités du nationalisme français, mouvements étrangers, journaux et stands nationalistes.

Le forum sera suivi d'un dîner nationaliste dans un restaurant proche (inscription préalable obligatoire).

Pour plus d'informations, veuillez envoyer un courrier électronique à l'adresse suivante : oeuvrefrancaise@gmail.com

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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 12:38

Retenez cette date, venez nombreux :

 

2ème journée de la revue nationale et identitaire

 

Synthèse logo.JPG

 

Fin du Nouvel ordre mondial :

 

 RENAISSANCE EUROPEENNE ! 

 

 

Dimanche 23 novembre 2008 

 

(de 11 h 00 à 18 h 00)

 

Forum de Grenelle

5, rue de la Croix-Nivert 75015 Paris

Métro Cambronne

 

Avec (liste actualisée d’intervenants) par ordre alphabétique :

 

Pierre Descaves, ancien député, conseiller régional de Picardie, Président de France Résistance

Pieter Kerstens, chef d'entreprise

Anne Kling, écrivain

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Henry Nitzche, député au Bundestag (ex CDU – Pro Deutschland)

Frédéric Pichon, président de Europae Gentes

Arnaud Raffard de Brienne, écrivain

Philippe Randa, éditeur et écrivain

Jean-Claude Rolinat, écrivain, élu local en Ile-de-France

Robert Spieler, ancien député, délégué général de la Nouvelle Droite Populaire

Nicolas Tandler, écrivain et journaliste

 

Invité d'honneur :

Filip Dewinter,

député d'Anvers,

porte-parole du Vlaams belang

 

De nombreuses associations et organisations politiques seront présentes. La librairie Primatice aura un stand. Restauration rapide sur place...

 

Participation : 7,00 €

 

23 11 08 2ème Journée de SN.pdf


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8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 11:45
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26 septembre 2008 5 26 /09 /septembre /2008 10:25
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24 septembre 2008 3 24 /09 /septembre /2008 11:37

04.JPGL’association Pro-Köln, dirigée par Markus Beisicht, qui dispose de plusieurs élus au Conseil Municipal de Cologne, organisait samedi 20 septembre une grande manifestation européenne contre la construction d’une grande mosquée au cœur de Cologne. J’y étais invité aux côtés de Filip Dewinter, porte- parole du Vlaams Belang, Mario Borghezio, député italien de la Ligue du Nord, les dirigeants autrichiens du FPOE et le député (ex chrétien-démocrate) Henry Nitzsche qui vient de quitter ce parti. Tous étaient présents, mais pas Jean-Marie Le Pen, qui avait décliné l’invitation, ni aucun responsable du FN.

 

Vendredi 19 septembre : conférence de presse internationale

 

Arrivé tôt à Cologne avec François Ferrier, Conseiller Régional de Lorraine, mes amis de la Droite Populaire d’Alsace et de Lille, pour participer à la conférence de presse internationale où je suis le seul représentant de la France, le regroupement des délégations étrangères s’effectue à l’aéroport de Cologne. Notre amie Hilde Delobel nous y attend. Un bus nous amène sur le lieu ultra-secret de la conférence de presse. La salle de la Mairie où celle-ci devait avoir lieu ayant été retirée quelques jours plus tôt par le maire chrétien-démocrate, qui a lancé des appels à l’intolérance et à la haine contre nous, la conférence de presse est organisée sur un bateau. Une demi-heure après notre arrivée, ayant été informés à la dernière seconde, les journalistes arrivent, accompagnés de quelques dizaines de gauchistes. Peu de policiers à l’horizon.

 

Une trentaine de journalistes réussissent à monter à bord, mais autant restent à quai car les gauchistes lancent des pierres qui brisent les verrières du bateau, manquant de peu de blesser des amis alsaciens. Le capitaine décide d’éloigner le bateau de l’embarcadère.

 

 

Errance sur le Rhin

 

Notre errance sur le Rhin commence, la plupart du temps statique. Quatre vedettes de la police viennent nous encadrer. Pour nous protéger d’éventuels U-bootes gauchistes ? Nous comprendrons assez vite qu’il s’agit surtout de nous empêcher de débarquer. Un bateau-pompier nous suit. Un hélicoptère nous survole.

 

La conférence de presse peut cependant avoir lieu. J’y interviens aux côtés de mes amis européens. Au bout de deux heures, des vedettes de la police s’amarrent à notre bateau, exfiltrant les seuls journalistes.

 

Au bout de trois heures d’attente, prisonniers de notre bateau, la menace de plainte du député Nitszche (que nous signons tous) pour entrave à la liberté de circuler et séquestration débloque la situation. Mais, un kilomètre plus loin, le bateau s’arrête à nouveau  devant un pont sur lequel se massent quelques dizaines  de gauchistes qui nous canardent. Arrêt de vingt minutes, puis nous forçons le passage en recevant à nouveau des projectiles malgré la présence (inefficace) de la police. Cette plaisanterie se renouvellera avant que nous n’arrivions enfin à l’embarcadère à proximité du zoo, où nous débarquons. Une nuée de journalistes nous y attend.

 

 

Prisonniers à l’embarcadère

 

Des forces importantes de police sont présentes, ainsi que les gauchistes. Impossible de prendre les bus. L’un a été vandalisé, le chauffeur de l’autre s’est enfui à toutes jambes. Nouvelle attente.

 

Harald Vilimsky, secrétaire national du FPOE, s’approche d’un policier en lui présentant le passeport diplomatique dont il est porteur. « Dégage », lui dit le policier. La police nous conseille de demander des taxis. Peine perdue, aucun taxi n’accepte de s’approcher.

 

Il faudra attendre deux heures pour qu’enfin la police se décide à nous exfiltrer avec des véhicules prévus pour transporter six personnes. Nous nous y entassons à douze dans un véhicule et même à quinze dans le second.

 

Nous apprenons que, suite aux pressions du maire, nos amis flamands, dont Filip Dewinter, ont été expulsés du Holiday Inn, où ils logeaient depuis la veille… 

 

 

Samedi 20 septembre : l’attente

 

Rendez-vous confidentiel à 9h45 des délégations étrangères et des militants flamands venus avec trois cars, à la gare de l’aéroport de Cologne. Un train doit nous amener, encadré par la police, à la gare centrale de Cologne où la police doit nous escorter jusqu’au Heumarkt, distant de 500 mètres, où la manifestation doit avoir lieu. Nos jeunes camarades strasbourgeois nous ont rejoint. Nouvelle attente. Le départ du train doit avoir lieu à 11h08. Il ne partira jamais. Dans la nuit, un aiguillage avait été saboté. Réparé quelques heures plus tard cependant. Mais nous apprenons que les gauchistes occupent les voies au niveau d’une gare intermédiaire.

 

Nouvelle attente. Pourtant des trains partent, mais la police fait barrage pour nous empêcher d’y monter. Vers 13h, le chef de la police fédérale (l’équivalent de la gendarmerie, donc non inféodé au maire) est tout à fait correct et nous informe qu’il a reçu l’ordre de nous empêcher de rejoindre Cologne, notre sécurité ne pouvant être assurée. 

 

 

Pendant ce temps à Cologne

 

La veille, une manifestation gauchiste avait eu lieu sur la place où nous devions nous réunir. Les contre-manifestants avaient été dégagés la nuit par la police afin de permettre le montage de l’infrastructure. Mais, le matin, la tension était à son comble. Des groupes d’autonomes très organisés et mobiles attaquaient la police. Une policière se fit arracher son arme !!! Mais la police, faiblement équipée et motivée, n’intervenait pas avec la vigueur exigée par cette situation insurrectionnelle.

 

Mario Borghezio réussit cependant à « tenir » quelque temps le podium et à prendre la parole. Mais les sympathisants présents durent se disperser, une cinquantaine se réfugiant dans les bureaux de Pro-Köln, encerclés par 500 excités, où ils durent attendre la fin de la soirée avant d’être libérés. Mario Borghezio réussit à forcer le blocus à bord d’un camion !

 

 

La contre-attaque

 

Une conférence de presse est organisée vers 15h à l’aéroport, en présence de centaines de militants qui scandent : « Wir sind das Volk » (« Nous sommes le peuple »). Puis la dispersion a lieu et la contre-attaque commence :

-          En Autriche, l’ambassadeur d’Allemagne est convoqué et se voit remettre une protestation officielle du gouvernement autrichien.

-          Robert Spieler et ses amis déposent une plainte contre le chef de la police auprès du Procureur de la République de Cologne, pour séquestration et atteinte à  la liberté de circuler.

-          Une grande campagne va être organisée par Pro-Köln contre le maire félon et pour exiger la démission du chef de la police.

-          Je prendrai contact lundi 22 septembre avec Markus Beisicht afin de lui proposer l’organisation d’une campagne internationale avec le soutien des identitaires français, qui ont montré leur excellence dans ce domaine.

 

 

Conclusion

 

Lors du dîner qui suivit, Markus Beisicht se félicita des résultats objectifs de cette opération : une couverture médiatique colossale (Pro-Köln est à 11% dans les sondages pour l’élection municipale de 2009).  Nul doute que le résultat final sera bien supérieur. Il insista aussi sur la nécessité pour les patriotes européens de travailler en réseau : « Nous sommes partout menacés par le politiquement correct et il est indispensable de se réunir pour défendre notre identité européenne. Les problèmes ne peuvent plus être résolus au niveau national ».

 

 

Lors de mon intervention, je lui ai exprimé toute notre admiration et notre soutien pour le combat que mènent nos camarades allemands, en insistant sur le danger absolu que représente l’immigration non européenne pour notre identité et sur la responsabilité d’une classe politique qui trahit son peuple. 

 

 

Robert Spieler

http://www.robert.spieler.net



TEXTE INITIAL DE L’ALLOCUTION DE ROBERT SPIELER A COLOGNE (Allemagne)

ROBERT SPIELER A PRESENTE DE LARGES EXTRAITS DE CE TEXTE LORS DE LA CONFERENCE DE PRESSE DU VENDREDI 19 SEPTEMBRE 2008 ET DU DINER DE CLOTURE DU CONGRES DE  « PRO KÖLN »

 

03.JPGChers Amis, Chers Camarades,

 

En tant qu’Alsacien et Européen, je salue Cologne, je salue l’Allemagne.

 

Aujourd’hui, nos peuples sont menacés de la plus dangereuse invasion que l’Europe n’ait jamais connue. Des millions de Musulmans campent déjà sur notre sol, des millions sont à notre porte. L’Islam est en train de nous submerger.

 

Notre réponse est : NON,  NON  et encore NON.

 

Charles MARTEL, il y a 1 300 ans,  a repoussé avec l’aide des combattants européens les Arabes à Poitiers. Il y a plus de trois siècles, l’invasion ottomane fut arrêtée devant Vienne grâce à une coalition Européenne à laquelle s’étaient joints des princes français, désobéissant à leur Roi Louis XIV, allié des Ottomans. Cette histoire, nous la revivons aujourd’hui.

 

La Reconquista espagnole permit, grâce à Isabelle la Catholique et aux valeureux combattants de la résistance chrétienne, de rendre l’Espagne à l’Europe. Aujourd’hui la situation est plus dangereuse que celle vécue par nos ancêtres. Cette invasion n’est pas une invasion militaire, mais une invasion ethnique et religieuse. De telles invasions ne sont possibles qu’avec la complicité des élites politiques et économiques. Ces élites sont allées chercher dans les années 1970 des immigrés musulmans afin de répondre temporairement aux besoins de production. Ils sont restés. Ces élites ont cru que ces populations resteraient soumises, non syndiquées et qu’elles accepteraient de faibles rémunérations. Absurde !!!!!

 

Malheureusement, c’est le contraire qui s’est produit. Le mondialisme et un ultra libéralisme devenu fou sont responsables de la situation actuelle. La recherche incessante du profit par le capitalisme mondialiste menace la survie même de nos peuples. Je suis bien sûr pour la liberté d’entreprendre. Je suis bien sûr opposé au fiscalisme dévorant. Je n’ai rien contre l’entreprise, dont l’objectif est de réaliser des profits.  La recherche du profit ne doit cependant pas se faire au détriment de la substance et de l’identité de nos peuples.

 

Notre avenir ne doit pas être dicté par la finance mondiale.

 

C’est au Peuple de décider.

 

Cologne se bat aujourd’hui pour son identité. Nous sommes rassemblés grâce à Markus Beisicht et à l’association PRO- KÖLN.

 

Vous êtes un exemple pour nous et, croyez-moi, c’est un grand honneur d’être aujourd’hui parmi vous. Mais Cologne seule ne peut pas gagner. De même que la Flandre, l’Alsace, la France, l’Autriche, l’Italie seules ne peuvent gagner. Ce combat pour notre identité européenne doit être un combat européen. Seul le rassemblement de toutes les forces européennes peut nous donner l’espérance.

 

Les Musulmans exigent des mosquées à Cologne, Berlin, Munich, Strasbourg, Partout. Soit. Mais nous, nous exigeons des églises en Algérie, en Arabie Saoudite, en Egypte.  

 

Tant qu’il n’y aura pas d’églises en pays musulmans, il ne doit pas y avoir de mosquées chez nous. Et que l’on ne me dise pas que cela n’a pas de sens. Des dizaines de milliers de Chrétiens, la plupart originaires des Philippines, travaillent aujourd’hui en Arabie Saoudite sans pouvoir pratiquer leur foi.

 

Partout en terre musulmane, des Chrétiens sont persécutés.

 

Comme l’a très bien dit Monsieur Strache, Président du FPOE, lors d’une réunion que nous avions récemment à Anvers : « Unsere Vertreter sind unsere Verräter » (« Nos représentants politiques sont ceux qui trahissent notre peuple »).

 

Dehors, ces politiciens de gauche ou de droite qui trompent le peuple !!!!!

 

Dehors, cette idéologie des «  droits de l’homme » qui en réalité conduit à la destruction de nos identités.

 

Que diraient nos ancêtres s’ils revenaient ?  Ils nous diraient : « Qu’avez-vous fait de l’Allemagne, de la France, de l’Europe ?  ». 

 

Peuples d’Europe, réveillez-vous. Ce n’est pas seulement pour nous que nous combattons, mais aussi en mémoire de nos aïeux. Nous combattons aussi pour nos enfants et pour la liberté de l’Europe.

 

Oui, mes amis, nos ancêtres nous disent : « Résistez, défendez notre héritage, défendez votre identité, votre honneur ».

 

A Cologne, la RECONQUISTA de l’Europe se met en route.   

 

 

Robert SPIELER,

Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire

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20 septembre 2008 6 20 /09 /septembre /2008 13:24

Plusieurs milliers de personnes se sont mobilisées samedi à Cologne pour tenter de bloquer une manifestation organisée par un groupe d'extrême droite opposé à la construction d'une nouvelle mosquée dans la ville.

Selon les forces de l'ordre, environ 3.000 policiers ont été déployés dans toute la ville afin d'éviter d'éventuels affrontements entre les deux groupes.

L'édifice, comportant deux minarets de 55m de haut, sera construit dans le quartier d'Ehrenfeld, où vivent de nombreux immigrés. Le chantier doit débuter avant la fin de l'année.

Les opposants au projet ont été appelés à se rassembler pendant trois jours par le mouvement nationaliste Pro-Köln. Le groupe dénonce une "islamisation" de la ville.

Vendredi, plusieurs centaines de manifestants, en majorité pacifistes, sont parvenus à empêcher que les dirigeants de Pro-Köln organisent une conférence de presse dans un bâtiment de la municipalité. Ils ont finalement trouvé refuge sur un bateau amarré sur le Rhin. Huit personnes ont été arrêtées pour avoir bombardé le navire de pierres et de "paint balls".

La chargée de mission du gouvernement pour l'immigration, Maria Böhmer, a condamné le rassemblement nationaliste. Elle a estimé qu'il "n'y avait pas de place" en Allemagne pour les mouvements d'extrême droite qui veulent "discriminer les minorités".

On estime à 120.000 le nombre de musulmans vivant à Cologne, perçue comme l'une des villes les plus tolérantes d'Allemagne et où les minorités sont le mieux intégrées. AP

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