Le secrétaire d’État américain a confirmé par ailleurs le déblocage de 100 millions de dollars supplémentaires d’aide humanitaire aux réfugiés syriens.
Le secrétaire d’État américain John Kerry, qui enchaîne depuis trois jours des rencontres sur la Syrie, a confirmé officiellement le déblocage de 100 millions de dollars supplémentaires d’aide humanitaire aux réfugiés syriens, dont près de la moitié servira à aider la Jordanie à faire face à l’afflux de Syriens fuyant ce conflit qui dure depuis 26 mois.
L’aide humanitaire américaine se monte désormais à un total de 510 millions de dollars, auxquels viennent s’ajouter 250 millions d’aide directe aux rebelles syriens combattant le régime d’Assad.
John Kerry a affirmé que le président Bachar el-Assad ne pourrait pas faire partie d’un gouvernement de transition. Toutes les parties en présence travaillent "pour mettre en place un gouvernement de transition issu d’un consensus, ce qui signifie clairement pour nous que le président (Assad) ne participera pas à un gouvernement de transition", a déclaré John Kerry à la presse avant de rencontrer le chef de la diplomatie jordanienne, Nasser Judeh.
Sources : Le Point/ Le Journal du Siècle
BREIZATAO – KOMZOÙ DIEUB (09/05/2013) Dans un court article publié sur son blog, Françoise Morvan s’étonne – ou feint de s’étonner – que ses obsessions ne trouvent guère que des opposants ou des contenteurs. Rappelons qu’elle a publié récemment un article pour dénoncer par avance toute ratification de la Charte des Langues régionales. Notons que les derniers vestiges du jacobinisme, en l’espèce le Conseil d’État, quelques loges du Grand Orient et sections de la LDH comme de la Libre Pensée, ont réussi à proroger cette ratification. Ce n’est, naturellement, que partie remise. Tôt ou tard, nous gagnerons.
Françoise Morvan a des sympathies communistes : elles sont connues et publiques. Françoise Morvan, qui aime à dresser des tribunaux contre les ennemis de la révolution, se garde jusqu’à présent de fouiller les poubelles du PCF. Sa “quête de vérité” est donc à géométrie variable.
Nous savons d’où elle parle, quels sont ses buts et surtout qui la soutient : globalement les nostalgiques de l’internationale rouge et l’arrière-ban sioniste, tous reconvertis dans le républicanisme comme dernier rempart de l’utopie cosmopolite socialiste.
Françoise Morvan se pique dans son article d’interroger ses opposants sur un certain nombre de points via son site internet. Selon elle, personne ne lui répond. Nous si.
Première question :
“— La charte a-t-elle été rédigée par un lobby ethniste ? “
Nous répondons : oui et ?
Il n’y a que pour les rouges que l’ethnie – qui relève du fait – soit a priori criminogène. C’est là la nouvelle pruderie de la bourgeoisie en place. Au tabou sexuel de l’ancienne bourgeoisie catholique a succédé le tabou racial de la bourgeoisie contemporaine.
Notons l’usage du terme “lobby” par l’auteur qui n’aime rien tant que dénoncer ceux qui l’accolent au terme “juif”. Bref, il y a des lobbys qui existent et d’autres non. Pour Françoise Morvan, le lobby le plus influent en 2013 est le “lobby allemand”, voire “pangermaniste”. Il est à l’origine de la Charte.
Le lobbying aux USA est public et parfaitement admis. En France il a mauvaise presse. Pourtant, Françoise Morvan appartient elle aussi à un lobby, le lobby socialo-jacobin. Mais en France, pays de l’hypocrisie, on ne fait rien franchement. Le lobbying est donc sournois, résultat de combinaisons multiples aux finalités toujours opaques.
Bref, qu’il y ait un lobby ethniste en Europe est logique, puisqu’il y a des ethnies européennes. Ces ethnies, ces peuples pour être exact, veulent être reconnues comme l’impose la Charte de l’ONU. On peut bien sûr dépeindre l’ONU comme un parangon du national-socialisme, mais Françoise Morvan n’est pas obsédée au point de s’aventurer à de tels raccourcis.
Françoise Morvan dénonce en outre l’instrumentalisation des revendications des peuples d’Europe par l’Allemagne. Nous répondons, si c’était vrai : et ? La France se priverait-elle d’user de tous les moyens possibles pour influencer l’Union Européenne, ses prises de décision ? Non, bien sûr. Il est logique et légitime que des états défendent leurs intérêts, la France de son côté n’échappe pas à cette règle.
Françoise Morvan découvre la diplomatie en attendant l’eau chaude…
Nous, nationalistes bretons, ne faisons pas mystère de nos préférences : nous concevons la nation comme l’écrasante majorité des peuples du continent, la France étant l’exception avec son nationalisme apatride dit “républicain”. Nous prenons donc fait et cause pour l’Allemagne si elle défend nos droits nationaux. Et ce n’est pas Françoise Morvan, grande protectrice des égorgeurs de 1793, qui nous fera rougir de tout cynisme en politique.
Nous voulons crever la république française, la révolution française, par tous les moyens. Morvan ne découvre rien : nous n’avons jamais changé de but. La France de son côté n’a jamais fait mystère de sa volonté de nous anéantir en tant que peuple. Que Morvan cesse de geindre dans ce qui n’est qu’un conflit d’extermination entre deux camps opposés, conflit démarré à l’initiative de la France
Ceci étant posé, aujourd’hui, l’Allemagne n’est pas certes nazie : elle accueille encore en 2012 près de 1,1 million d’immigrés. Difficile donc de lui prêter une politique raciste !
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Nathan, 17 ans, et sa famille, vont prochainement déménager du quartier de Cheratte-bas où ils résident depuis plus de 15 ans. En cause, les agressions verbales et physiques dont a été victime le jeune homme, dimanche dernier. La mère de Nathan a décidé de porter plainte, avec le soutien de l’asbl des Musulmans progressistes de Belgique.
Dimanche soir, Nathan, un jeune homme de 17 ans, raccompagne sa petite amie à pied. Il marche dans son quartier de Cheratte-bas (commune de Visé). Un quartier où il a grandi, où il a joué, où il a ses amis et ses habitudes. Mais il croise la route de Huseyn, un jeune caïd du quartier. Les insultes fusent d’abord. «Sale Belge», «sale blanc».
Huseyn leur dit ensuite qu’ils ne sont pas en Belgique, mais en Turquie. Puis arrivent les coups. Nathan appelle sa maman, qui le conduit à l’hôpital le plus proche. Il se plaint de maux de tête.
« Cette fois, j’ai décidé de ne pas en rester là», explique cette mère de famille énervée. «Ce n’est pas la première fois que des jeunes du quartier s’en prennent à lui. Les insultes sont courantes. Mais cette fois, c’est allé trop loin».
Elle a donc porté plainte pour racisme et xénophobie envers son fils, avec l’appui de l’asbl des Musulmans progressistes de Belgique. Une association qui a décidé de lancer la procédure «classique» lorsque des faits de racisme lui sont rapportés. «Car nous sommes contre toutes les formes de racisme, même celles qui émanent des populations d’origine étrangère», précise Fouad Benyekhlef.
Hier soir jeudi, les fascistes français des jeunesses nationalistes avaient appelé à un rassemblement à Rennes (Bretagne) pour commémorer la mort de Sébastien Deyzieu, un militant d’extrême-droite tombé d’un toit parisien en 1994 lors d’une manifestation contre « l’impérialisme américain ».
Le rendez-vous avait été fixé à 20h00 sur la célèbre place de la mairie. A l’heure dite, le climat était surréaliste. Des guetteurs anti-fascistes, à peine repérables, quadrillaient méthodiquement la place attendant de pied ferme les phalangistes.
20h01: une troupe d’environ 150 personnes en ligne. Habillées en noir, masquées pour une partie d’entre elles, descendent de la rue Le Bastard. Sont-ce eux les squadristes des Jeunesses Nationalistes groupés en phalanges de combat ? « Toi la vieille, tu ne fais de photo ! » crie l’un d’entre eux à une quadragénaire interpellée par l’attroupement. « Alerta, alerta antifascista ! ». Raté, le groupe en question est une contre-manifestation…. d’anti-fascistes. Sur le moment, on s’interroge tout de même sur la pertinence des thèmes habituels de l’anti-fascisme, à savoir « l’anti-sexisme », « l’anti-agisme », etc…
La centaine de militants bien énervée découvre une place de la mairie… vide. Ca tourne en rond. Soudain un cri retentit « Celui-là c’est un nazi ! » un quidam aux cheveux longs se met à courir poursuivi par la meute. Le chevelu sort une gazeuse, mal lui en prit, il est rattrapé et subit un lynchage aux petits oignons. 25 anti-fa contre un squadriste (supposé) à terre. Mouaih. Chacun vient mettre son p’tit coup de pompe, sûrement par solidarité anti-fasciste. Il repartira avec les pompiers.
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Le mot race va-t-il disparaître de l'article 1 de la Constitution française ? La promesse tenue par François Hollande durant la campagne présidentielle figure dans un projet de réforme constitutionnelle qui fera bientôt l'objet de consultations.
«La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée», affirme l'article 1 du texte fondamental. A l'Elysée, le terme «race» est loin de faire l'unanimité. La suppression du mot «figure dans le projet de texte qui fait l'objet des consultations que le premier ministre va engager» avec les présidents des groupes parlementaires, a annoncé au Figaro un conseiller du président de la République.
Le 10 mars 2012, le candidat François Hollande avait déclaré «Il n'y a pas de place dans la République pour la race. Et c'est pourquoi je demanderai au lendemain de la présidentielle au Parlement de supprimer le mot “race”de notre Constitution» . Selon une information de France Inter jeudi matin, le Parlement se réunira en Congrès avant l’été.
http://www.newsring.fr/actualite/1002455-le-mot-race-supprime-de-la-constitution-avant-lete
