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21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 18:24

Un homme de 27 ans a été blessé par arme à feu dans la nuit de samedi à dimanche en pleine rue dans la cité des Hautes-Noues, à Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne).

Il a été transporté dans le coma à l'hôpital Henri Mondor de Créteil. Dimanche, son pronostic vital était toujours engagé.

Vers 23h45, la victime a été touchée à la hanche droite par une balle qui a traversé le bassin avant de ressortir «au niveau de la cuisse gauche», a indiqué une source policière.

Une douille de 9mm a été retrouvée sur les lieux.

L', confiée à la police judiciaire de Créteil, s'oriente vers un «différend familial».

 

Leparisien.fr

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21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 17:43
russiehandball
Choisis ton camp camarade !


francehand
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21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 17:39

SALEM.jpgUne nuit de décembre 2000, à Salem, ville située à proximité de Stockholm, la capitale suédoise, un jeune militant nationaliste était assassiné par une bande ethnique. Il s’appelait Daniel Wretström, il était fier de son identité suédoise, il n’en fallut pas plus pour déchainer la haine de ceux qui, venus d’ailleurs, se considèrent déjà en Suède comme en territoire conquis. Ils l’ont tué parce qu’il était blanc et que, à leurs yeux, les blancs n’ont plus rien à faire en Suède et en Europe.

Ce lâche assassinat a suscité, au sein de la jeunesse suédoise, jusqu’alors anesthésiée par des décennies de sociale-démocratie, une prise de conscience collective face à l’invasion qui dévore le pays. Depuis décembre 2000, à Salem, une marche aux flambeaux est organisée chaque deuxième samedi de décembre pour honorer la mémoire de Daniel. Chaque année, les jeunes suédois sont de plus en plus nombreux à participer à ce rassemblement parfaitement encadré.

Le 12 décembre dernier, une délégation de jeunes militants strasbourgeois de la Nouvelle Droite Populaire était présente à Salem. Alexandre, l’un des responsables de la NDP en Alsace, a fait une allocution devant plus de 600 personnes au cours de laquelle il a apporté le soutien des jeunes nationalistes français à l’action de leurs camarades suédois.

Notre combat est un combat européen. Nous nous battons pour que nos nations et pour que notre civilisation restent européennes. Daniel Wretström était un combattant de cette noble cause, il est mort en combattant. Toutes les forces nationalistes et identitaires d’Europe saluent sa mémoire.

La NDP alsacienne à publié un clip à l’attention des camarades suédois pour les remercier pour leur fraternel accueil. Le voici :

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21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 17:36
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21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 17:17

Les communistes et autres nostalgiques de l'URSS célèbraient lundi le 130e anniversaire de la naissance du dictateur soviétique Joseph Staline, responsable de la mort de millions de Soviétiques, mais toujours admiré en Russie.

 

Un supporter communiste russe avec le portrait de Joseph Staline lors de son 130e 'anniversaire, le 21 décembre 2009 à Moscou

"Ce qu'a fait Staline, notamment en tant que chef militaire suprême, l'a rendu immortel à tout jamais", a dit le chef du Parti communiste (PC) Guennadi Ziouganov, après avoir déposé des fleurs sur la tombe du Petit père des peuples, située sur la Place Rouge, derrière le mausolée de Lénine.

Près de 1.500 personnes ont participé à la cérémonie, selon la radio Echo de Moscou.

"C'est une cérémonie pour un bourreau (...) des peuples de l'URSS, une fête sur le sang des victimes", s'est de son côté indigné le leader du parti réformateur Iabloko, Sergueï Mitrokhine. "La propagande du stalinisme doit être interdite", estime-t-il dans une lettre ouverte publiée lundi.

Staline reste révéré en Russie pour son rôle dans la victoire des Alliés durant la Deuxième guerre mondiale, sa responsabilité dans la déportation et la mort de millions de Soviétiques ne faisant en revanche guère débat, notamment au sommet de l'Etat.

Une majorité de Russes (54%) admire aujourd'hui le leadership de Staline, et 8% sont d'un avis contraire. 58% des sondés affirment toutefois que la Russie d'aujourd'hui n'a plus besoin d'un dirigeant comme Staline.

"Des hommes politiques cyniques manipulent des vieillards et des gens qui confondent l'époque romantique de leur jeunesse avec le régime de l'époque", a déclaré lundi le représentant pour les droits de l'Homme auprès du Kremlin, Vladimir Loukine.

Fin octobre, le président russe Dmitri Medvedev avait déclaré qu'aucune raison d'Etat ne pouvait justifier les millions de victimes des purges staliniennes, dans une rare condamnation du dictateur soviétique.

"Bourreau ou Petit père des peuples?", interrogeait lundi la chaîne de télévision indépendante RenTV, avant de s'étonner que "de plus en plus de Russes lui pardonnent aujourd'hui plusieurs millions de victimes".

"Staline est un homme politique éminent, incomparable à ceux d'aujourd'hui", estime Dmitri Petrov, ingénieur de 50 ans venu rendre hommage à Staline à Saint-Pétersbourg dans la maison où le futur dirigeant avait vécu en 1917.

"On ne peut changer les choses qu'avec des méthodes dures. Et les changements ne peuvent pas arranger tout le monde", a-t-il expliqué à l'AFP.

Par ailleurs, une exposition "Staline: mythes et réalité" -- avec des photos, portraits et documents parfois inédits -- s'est ouverte lundi à Moscou.

"L'intérêt que portent les Russes à Staline est immense, parce que le leadership actuel n'a pu proposer aucune idée nationale et a conduit le pays dans l'impasse", estime son directeur Iouri Izioumov.

Le ministère de la Culture n'ayant pas donné son accord à une telle exposition, M. Izioumov, "membre du PC depuis 1960", l'a organisée grâce à des "donateurs", a-t-il dit à l'AFP.

Plusieurs centaines de partisans de Staline, originaire de Géorgie, se sont par ailleurs rassemblés lundi dans sa ville natale, à Gori (Géorgie).

Brandissant des drapeaux soviétiques, ils sont sortis de la maison natale du futur généralissime -- aujourd'hui un musée -- pour marcher vers la place centrale de la ville et déposer des gerbes devant le monument qui lui est dédié.

Parmi eux, le petit-fils de Staline, Evgueni Djougachvili, a dénoncé les attaques contre son aïeul, parfois présenté comme le pire dictateur du 20e siècle. "C'est terrible que certains mettent Staline et Hitler sur le même rang. Staline a été un libérateur, face à Hitler, agresseur et colonisateur des peuples", a-t-il dit à l'AFP.

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21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 17:13

La Turquie a effectué lundi un petit pas timide de plus vers l'UE, mais son horizon européen reste bouché au moment où les choses s'accélèrent en revanche dans les Balkans, pour la Croatie et aussi pour la Serbie qui dépose mardi une candidature hautement symbolique.

 

Les drapeaux turc et européen à Istanbul.

Réunis à Bruxelles, les représentants des 27 pays de l'UE ont ouvert un douzième "chapitre" thématique sur la liste des 35 qui jalonnent les laborieux pourparlers d'adhésion engagés en octobre 2005 par la Turquie, a annoncé le ministre suédois des Affaires étrangères, Carl Bildt, dont le pays préside l'UE.

Il s'agit de l'environnement. Cette avancée était considérée comme une priorité par la Suède qui milite ardemment pour l'adhésion à terme de la Turquie, et par la Commission européenne.

"Cela montre que le train de la Turquie vers l'UE reste sur les rails et avance" malgré les difficultés, a dit en forme de testament le commissaire à l'Elargissement, Olli Rehn, appelé à quitter ses fonctions fin janvier.

Le progrès reste toutefois timide pour la Turquie, de plus en plus frustrée. "Nous espérons que les négociations vont prendre de la vitesse", a déclaré lundi le chef de la diplomatie turque Ahmet Davutoglu.

Il a également critiqué l'UE pour son refus de lui accorder le droit de venir en Europe sans visa, qu'elle vient de donner aux citoyens de Serbie, du Monténégro et de Macédoine.

Pour la Turquie, les perspectives d'adhésion restent au mieux très lointaines en raison de la lenteur de certaines réformes internes mais surtout de l'opposition de plusieurs pays à son entrée, comme la France, l'Autriche et l'Allemagne. Ces derniers proposent à la place un "partenariat privilégié" avec l'UE, qu'Ankara refuse.

Et la récente décision de la cour constitutionnelle turque de dissoudre le parti pro-kurde pour une société démocratique (DTP), qualifiée d'"inquiétante par M. Bildt, n'a rien arrangé.

Autre problème: en raison du refus persistant d'Ankara d'ouvrir ses ports et aéroports aux Chypriotes grecs, l'UE bloque depuis 2006 huit chapitres de négociation. Et les Chypriotes grecs viennent de menacer de poser de nouvelles conditions sur cinq nouveaux chapitres non encore ouverts.

Une décision jugée "très préoccupante" par M. Davutoglu, qui a exhorté l'Europe à choisir entre l'intérêt stratégique pour elle d'une adhésion de la Turquie ou la poursuite du blocage politique.

Par contraste, le processus de rapprochement des pays des Balkans, sur lequel il y a consensus à terme au sein de l'UE, avance vite. Sans parler de l'Islande qui a déposé cette année sa candidature et pourrait adhérer dès 2012.

Concernant la Croatie, les pays de l'UE ont refermé lundi deux nouveaux chapitres la concernant, sur la libre prestation des services et l'emploi. De ce fait, Zagreb en est à 28 chapitres ouverts sur 35, dont 17 déjà clos.

"Nous en sommes à la phase finale et déterminante des négociations", a dit M. Bildt.

"Nous sommes confiants quant à la possibilité de mener à bien les négociations mi-2010", lui a fait écho le ministre croate à l'intégration européenne, Gordan Jandrokovic. Zagreb espère ensuite une entrée l'année suivante dans l'UE, à condition que la Slovénie ne bloque pas le processus en raison d'un différend territorial avec Zagreb.

La Serbie présentera pour sa part mardi à Stockholm sa candidature à l'Union européenne, une évolution à très forte portée politique dix ans après les bombardements de l'Otan sur son territoire en représailles à la répression de la guérilla indépendantiste kosovare albanaise.

 

AFP

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21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 17:11
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21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 17:10

PARIS — Nicolas Sarkozy s'est entretenu par téléphone dimanche soir avec Florence Cassez, la Française emprisonnée depuis 4 ans au Mexique pour des enlèvements auxquels elle nie avoir participé, lui assurant que la France continuerait à lui apporter "toute l'assistance prévue par le droit".

"Le chef de l'Etat l'a assurée qu'il veillait à suivre personnellement son cas, et que les autorités françaises continueraient à lui apporter toute l'assistance prévue par le droit", a indiqué l'Elysée, dans un communiqué.

Me Frank Berton, l'avocat français de la jeune femme, avait annoncé jeudi à l'AFP à Mexico, qu'il porterait plainte début 2010 à Paris contre le ministre mexicain de la Sécurité pour procédure inéquitable.

Il avait aussi décrypté le message reçu de l'Elysée à l'issue d'une rencontre ce même jour entre M. Sarkozy et les parents de Florence Cassez, affirmant que l'assurance de recevoir "toute l'assistance prévue par le droit" signifiait la préparation par la France d'un recours devant la Cour internationale de Justice de La Haye.

"Le président Sarkozy a demandé à ses ministères des Affaires étrangères et de la Justice de préparer un dossier pour constituer un mémoire de saisine de la Cour", avait précisé Me Berton. "Cela signifie que l'Etat n'est plus dans une démarche de demande de transfèrement de Florence Cassez, mais qu'il est convaincu que son procès n'a pas été équitable", avait-il dit.

 

AFP

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21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 17:08
Vingt Chinois de l'ethnie ouïgoure, arrivés depuis deux semaines à Phnom Penh, ont été expulsés samedi 19 décembre au soir par le gouvernement cambodgien pour "immigration illégale" après avoir demandé le statut de réfugié aux Nations unies.

Fuyant la répression dans leur province du grand ouest chinois, le Xinjiang, ces Ouïgours musulmans affirmaient être en danger en Chine depuis les sanglantes émeutes intercommunautaires de juillet, où leur minorité ethnique a été impliquée. Dix-sept personnes ont déjà été condamnées à mort pour leur rôle dans ces violences, qui avaient éclaté à Urumqi, capitale du Xinjiang, et auraient fait officiellement près de 200 morts.

Le porte-parole du ministère cambodgien des affaires étrangères, Koy Kuong, a déclaré que ces réfugiés, parmi lesquels se trouvent deux enfants, "sont des immigrants illégaux, et, selon les lois de l'immigration au Cambodge, ils doivent être expulsés du pays". Arrivés il y a une quinzaine de jours dans la capitale khmère grâce à des réseaux de missionnaires chrétiens engagés dans l'aide aux réfugiés de Corée du Nord en Chine, les Ouïgours ont été mis, samedi soir, dans un avion pour la Chine.

La décision du gouvernement du premier ministre cambodgien Hun Sen a déclenché la fureur des organisations de défense des droits de l'homme, et suscité une vive protestation américaine.

Le président du Centre cambodgien pour les droits de l'homme, Ou Virak, a déclaré à l'AFP que "le gouvernement cambodgien a violé les responsabilités qui lui incombent en tant que signataire de la convention de 1951 des Nations unies sur (le statut) des réfugiés. Ce qui est le plus inquiétant, c'est la possibilité que ces vingt Ouïgours puissent être torturés ou discrètement exécutés une fois qu'ils sont de retour en Chine."

Pékin avait prévenu mi-décembre que les bureaux de l'ONU à l'étranger ne devraient pas devenir des "havres pour criminels", et précisé que le groupe de ces demandeurs d'asile a été impliqué dans des "activités criminelles".


"Par la force"


A Washington, le porte-parole du département d'Etat américain, Gordon Duguid, a déclaré dimanche que les Etats-Unis sont "préoccupés" par la décision cambodgienne de renvoyer ces demandeurs d'asile qui avaient demandé "protection selon les lois internationales". Il a ajouté que les Etats-Unis regrettent que le "gouvernement cambodgien ait choisi d'expulser ce groupe par la force sans avoir permis le recours à un processus crédible de vérification du bien-fondé de la demande de statut de réfugié, et sans permettre la participation du haut-commissaire des Nations unies pour les réfugiés".

La décision de Phnom Penh a coïncidé avec l'arrivée, dimanche, au Cambodge du vice-président chinois Xi Jinping, probable successeur de l'actuel président Hu Jintao à la tête de la République populaire. M. Xi devrait signer à Phnom Penh, au cours de cette visite de trois jours, 14 contrats relatifs à des projets d'infrastructure. La Chine est le plus gros investisseur au Cambodge, où le montant de ses investissements directs s'élève à 4 milliards de dollars (2,8 milliards d'euros).

Le premier ministre Hun Sen a consolidé son emprise sur le pays en s'appuyant sur des hommes d'affaires sino-khmers qui ont leurs entrées en Chine. Le vice-premier ministre, Sok An, est d'origine chinoise, tout comme l'épouse du chef du gouvernement. Il est considéré comme l'un des relais sûrs de Pékin au Cambodge.

 

Le Monde

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21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 17:06
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